[cinematographe]

Je n’ai pas la télévision chez moi, j’attendrai que la série soit piratée, puis mis en ligne par un internaute quelconque sur YouTube, alors consultable gratuitement, si la publication n’est pas immédiatement saisie par l’administration de flicage, visant à maintenir les droits commerciaux en vigueur…

Mais tout fini sur YouTube un jour où l’autre, et les plus malins interposent même un filtre d’image, ou des bords de cadre flou, indécelable par le scan des robots de YouTube, quelques soient les films, même ceux soit disant proposés à la location payante …

C’est un des paradoxes du libéralisme et du libre échange des données ?