[cinematographe]

@Zeno les risques de déclarer une aggravation de santé du type Covid 19, dans les jours qui suivent une injection d’un vaccin du type arnm, ne sont pas nuls en effet.

Il semblerai que les sujets âgés, de plus de 70 qui sont le public cible préférentiel pour ce type de traitement, soient moins à risque de développer une maladie auto-immune , du fait d’un système immunitaire moins réactif peut-être ?

Selon l’emminent spécialiste en virologie/ infectiologie, dont j’ai publié ici une interview récente, les mécanismes d’innduction de formes sévères ou assimilées au Covid 19, suite à l’administration d’un vaccin arnm, sont encore mal connus, et les risques semblent accrus pour les porteurs asymptomatiques (raison pour laquelle il ne faut pas faire vacciner les enfants et les adolescents, les sujets immatures non adultes ?) …

Les porteurs asymptomatiques sont particulièrement nombreux selon les spécialistes, ce qui impliquerait en toute logique de passer systématiquement un dépistage au PCR, avant toute vaccination ?

Cette simple mesure de précaution est elle réellement suivie dans les faits ?

Par ailleurs le rendement des vaccins actuels, ciblant tous la protéine d’encrage viral « Spike », sont frappés d’une obsolescence programmée, non pas de quelques semaines, comme j’ai pu le lire ici, mais plus vraisemblablement jusqu’à la prochaine mutation décisive autour de cette protéine membranaire ?

Les chiffres cliniques (et non ceux partiaux fournis par les études des industriels de la pharmacie) indiquent déjà une évaluation statistique édifiante sur l’efficacité réelle des vaccins actuels, à savoir de 70% sur les sujets symptomatiques admis aux urgences, et de 30% seulement pour les sujets asymptomatiques….

Il vaut mieux faire un test PCR dans ce cas, avant toute vaccination, histoire de vérifier que l’on ne soit pas asymptomatique, et que l’équilibre de la balance risque encouru/bénéficie reçu ne penche pas du mauvais côté du fléau ?