Faut-il en vouloir aux "normaux-pensants"

  • Membre Inconnu

    Membre
    3 août 2020 à 9 h 49 min

    @verof ” mais il m’intéresse de comprendre en quoi vous et nous appartenons à 2 mondes si différents. Perception, langage, ressenti,”

    Bonjour Vero, voici la réponse à ta question, à chaque fois qu’un neurone est activé, le zèbre

    innerve en même temps tous les neurones situés à 2 (voire 3 connexion) de là.

    C’est à dire que chaque chose, est ressentie différemment et plus finement:

    (tu as 2 ou 3 voire 4 concepts différents correspondant à une chose qui correspond à un seul concept pour le non-zèbre)

    Bien sûr la limite n’est pas nette et on a tous les cas intermédiaires.

  • Membre Inconnu

    Membre
    3 août 2020 à 9 h 53 min

    @byaku

    “Il y a et il y aura toujours un manque de mon coté vis à vis de ces
    personnes bien que je les apprécie ou les aime … Peut importe la force
    des sentiments que j’ai pour eux. Je pense assez objectivement lire en
    eux facilement, les lires et les comprendre dans leurs quasi
    intégralités. L’inverse n’est absolument pas vrai … et ils se plantent à
    longueur de temps lorsqu’ils tentent de se mettre à ma place ou
    comprendre comment ça se passe la dedans. De plus, la majeure partie des
    choses qui m’intéressent vraiment ne les intéresses pas … Et leurs
    récits de vie bien cadré me lassent énormément au bout d’un moment.”

    Bravo tu as dit tout ce que je voulais dire;

  • Membre Inconnu

    Membre
    3 août 2020 à 10 h 02 min

    @Anonyme “En fait, la question de départ “Faut-il en vouloir aux normo-pensants ?”
    pourrait très bien se formuler de multiples manières et révéler quelque
    chose de plus sombre.”

    “Faut-il en vouloir à mon amie d’avoir un handicap neurologique ?”. On
    comprend tout de suite pourquoi ça devient plus sombre ce genre de
    questionnement. Le validisme.”

    bonjour, je vois le danger d’une attitude méprisante

    Le zèbre je pense ne doit pas reproduire ce qu’il subit des non zèbres (qui ne le font pas exprès). il doit rester humble (sincèrement car les non zèbres sont plus heureux)

    vis à vis des non zèbres.

    Après avoir essayé, vainement, [A] la soumission à l’ordre non-zèbre (qui étouffe) puis [B] la rébellion agressive (qui isole et nous prive de gens intéressant obéissant à l’ordre non zèbre), la bonne solution adaptée semble être [C] de ne réclamer que le minimum auquel les zèbres ont droit. pour être heureux, mais cela ne se fait pas tout seul

    C’est un dur combat

  • Membre Inconnu

    Membre
    3 août 2020 à 10 h 23 min

    A Itsme “La pensée en arborescence n’est pas partagée par “tout le monde”. J’en
    ai déjà parlé avec des gens qui étaient “intelligents” et ils
    fonctionnaient de façon très linéaire et étaient également “mono tâche””

    Bonjour, les monotâches sont favorisés dans le cadre d’une société qui fonctionne bien

    avec des objectifs fixent au cours du temps

    Ils peuvent pleinement prendre le temps pour faire les choses une par une

    tout en bénéficiant de toute la puissance du système

    Mais dans le cadre d’une société perturbée ou tous les paramétrés varient sans cesse et ou les objectifs doivent être redéfinis en permanence en fonction de situation sans cesse imprévues, “la pensée en arborescence” semblerait plus adaptée.

  • Membre Inconnu

    Membre
    5 août 2020 à 15 h 48 min

    @yugen

    “As-tu des sources pour étayer ça ? Ça m’intrigue au plus haut point !” Non je n’ai pas de source, c’est une hypothèse que je fais (j’aurais du préciser entre hypothèse personnelle et hypothèse largement validée par la communauté scientifique, avec source)

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 août 2020 à 19 h 13 min

    @ GANJA qui dit en réponse à la question du titre sur les normaux pensants à qui on pourrait en vouloir “Donc c’est à nous de s’entourer, de gens pour notre bien-être et perception de vie”

    le problème (technique) est que ce n’est pas toujours possible et à cause des normaux pensants objectivement, qui ne le font pas exprès.

    Toi, tu es zèbre, tu convoites de parler avec un/une autre zèbre, mais cet/te autre zèbre fait partie d’un groupe de normaux-pensants, qu’elle ne va pas quitter. Et toi tu ne peux pas y rentrer car les leaders d’opinion normaux pensants… ne te comprennent pas.

    donc en définitive, tu peux croiser ton/ta zèbre/esse dans les couloirs mais tu ne peux pas aller à la cantine, au café avec elle,…. ce schèma se produit souvent, hélas.

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 août 2020 à 19 h 35 min

    Je précise que ce que je disais là à GANJA, c’est un vécu pas systématique, mais rencontré souvent. je ne dis pas que c’est automatique pour tous les zèbres, certains ont certainement plus de diplomatie.

Page 30 sur 30

Connectez-vous pour répondre.