Répondre à: Dyslexie

  • minos

    Membre
    11 mai 2022 à 0 h 10 min

    Quel homme “normalement constitué” (hétéro’ et dominant (ou se rêvant l’être)) n’aurait pas une tendance naturelle pour “ce qui touche” (tant qu’à faire, que ce soit lui-même) aux culs des (jolies) filles (majeures et co(nsentantes)mplaisantes (nan, parce que sinon, c’est pas bien de leur mettre la main au derrière !)) @Ganymede69 ?…

    Je manque un peu de temps pour en écrire plus ici et maintenant, mais c’est vrai que Socrate me parait être un personnage à l’éveil et aux qualités humaines assez remarquable (et qui ont été remarquées par non des moindres de ses contemporains)…

    Quant à la politique en général, en considérant que sa définition serait d’organiser le pouvoir dans une société et que (que ce soit souhaitable ou non), celle-ci (outre ce qu’elle demande d’encadrement) ne peut s’exonérer plus de ses croyances spirituelles, il me paraît vain de tendre à faire comme si la religion n’aurait pas un poids qui devrait être considéré dans un format de structuration étatique “entier” (dans l’idéal)… Sauf que ce qui peut mieux rassembler concrètement nos populations (culturellement diversifiées) s’opposent à des clivages insurmontables dans les différentes inclinations spirituelles des groupes respectifs qui les constituent et que, puisque le divin est générateur de ces oppositions, on doit tendre à l’écarter de la gestion raisonnée et responsable que nécessite une société… Et intégrer plus fidèlement les notions de moralité et de probité qui devraient prévaloir à cette lourde charge qu’est l’exercice du pouvoir, sans quoi, ce sont les préceptes religieux qui prendront cette place abandonnée… Mais, tout le problème réside en la versatilité et en l’ambivalence de l’homme, lui qui, fondamentalement, ne trouve bien une certaine stabilité morale que dans le ciel et qui ne se sent plus libre de se livrer à sa nature que sur terre… Une de ces difficultés fondamentales semblant insolubles et que l’on doit pourtant tenter de résoudre…