Quelle féministe êtes-vous ?

  • amokpiotr

    Membre
    27 septembre 2018 à 10 h 35 min

    Ahah c’est vraiment un truc de blanc de “jouer à la domination”. Vous “choississez” votre féminisme, mais il s’agit d’une lutte de chaque instant, et les premières concernées n’ont pas le temps de choisir, elles doivent survivre.

    Et en 2018, encore des hommes pour se dire féministe ? On a plein de problème à réglé de notre côté les monsieurs, quant au virilisme, aux agressions et aux viols que l’on commet et tout ce qui va avec. On a assez de travail pour pas avoir de besoin de s’occuper d’un combat qui ne nous concerne pas et que l’on ne peut pas mener.

  • olbius

    Organisateur
    9 octobre 2018 à 13 h 55 min

    Un autre test, qui circule beaucoup en ce moment sur les réseaux sociaux (IDRLabs) :
    Test de féminisme

    Sans surprise, le test me dit que je suis “féministe libéral” :

    féminisme libéral

    Le féminisme libéral se réfère à la philosophie féministe enracinée dans les principes de l’autonomisation. Ses œuvres classiques ont été écrites par des penseurs comme Mary et John Stuart Mill. Ce type de féminisme soutient la thèse selon laquelle les hommes et les femmes sont égaux les uns envers les autres et en tant que tels méritent l’égalité des droits. C’est ce type de féminisme auquel les gens font allusion quand ils disent “le féminisme signifie juste l’égalité des droits.”

    Par opposition à d’autres formes de féminisme, le féminisme libéral est individualiste (plutôt que basé sur le groupe): les hommes et les femmes méritent l’égalité des droits, car tous deux sont des individus. Les droits sont accordés aux individus, et non pas aux sexes ou aux groupes.

    Le féminisme libéral croit à l’égalité des droits et non à l’égalité des résultats. Si une profession est dominée par un seul sexe, cela ne signifie pas nécessairement que quelque chose ne va pas: cela pourrait être le résultat d’individus prenant des décisions différentes dans la vie.

    Et vous ? 🙂

  • Membre Inconnu

    Membre
    25 octobre 2018 à 20 h 31 min

    Ton test et horrible. et ma laisser plusieurs fois sans réponse car trop floue a mon gout ou
    lorsqu’elle me choquais carrément.

    Mon résultat est très différant du tien.
    33% pour le totalitarisme, et une moyenne de 60% pour chaque type de féminisme :-P.

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 octobre 2018 à 9 h 22 min
  • Membre Inconnu

    Membre
    26 octobre 2018 à 10 h 32 min

    Ceci, n’est que mon points de vue et je respecte le vôtre, même si ici, je le critique 😉

    Le féminisme universaliste : Oui
    L’égalité en droits des hommes et des femmes
    Vous estimez que la laïcité est une valeur indispensable au féminisme
    Vous estimez que chacun doit pouvoir donner son avis, sans se voir disqualifié selon son ethnie, sa religion, son milieu socioculturel, son genre ou autre.
    Vous êtes pour que la pilule contraceptive soit remboursée et donné aux hommes aussi
    L’avortement légalisé partout dans le monde.
    Vous êtes défavorable à la prostitution et à la pornographie mainstream, qui dégrade selon vous l’image de la femme
    Vous combattez le modèle de la femme-objet dans la publicité et de l’hypersexualisation des femmes dans les médias.
    Mais je ne suis pas pour des quotas de femmes minimaux dans le gouvernement et les conseils d’administration des grandes entreprises.
    Il faut peut-être en passer par là, pour casser ces dominations inégalitaires, mais cela ne devrait pas (dans un monde idéal) être obligatoire.
    Je suis plutôt pour un quota de personne compétente LOL

    Le féminisme différentialiste :
    Vous pensez donc que le féminisme ne doit pas pousser les femmes à ressembler aux hommes, mais à.
    Lol, c’est hyper sexiste.
    Un être vivant ne ressemble pas à un autre être vivant et devrait valoriser ces qualités propres !

    Le féministe intersectionnel :
    On ne peut pas tout mélanger, les discriminations existe hélas partout.
    Mais la base, c’est tout de même l’acceptation de plus de la moitié de la population, par l’autre moitié minoritaire. Une fois cette reconnaissance égalitaire faite, le reste sera plus facile à faire accepter.
    Et je ne peux, au nom de la lutte contre le sexisme promouvoir les dogmes religieux sexiste. La liberté du culte oui, bien sûr, dans le privé et dans les lieux publics, mais ni dans les écoles, ni en politique, ni dans la fonction publique. C’est lieu doivent selon moi rester neutre. Que ce soit pour les convictions religieuse ou autre.

    Le féministe pop : oui aussi.
    C’est top, et on n’est pas pour autant capitaliste 😊

    Le féministe pro-sexe :
    Et bien oui, s’il y en a qui mélange tout (intersectionnel), il y en a qui sont trop « focus » sur le cul.

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 octobre 2018 à 10 h 58 min

    @amokpiotr
    « Je cherche quelqu’un.e avec qui le questionnement permanent du fonctionnement de notre monde ne serait pas une source d’ennui »
    ???
    « On a assez de travail pour pas avoir de besoin de s’occuper d’un combat qui ne nous concerne pas »
    Je noter une certaine contradiction dans tes propos.
    « et que l’on ne peut pas mener. »
    ?????
    Avec qui elle ont des problèmes a ton avis ?
    « On a plein de problème à réglé de notre côté les monsieurs, quant au virilisme, aux agressions et aux viols que l’on commet et tout ce qui va avec »
    Ah, bien oui, tu as trouvé 😉 c’est juste l’autre côté de la même pièce lol

    « Ahah c’est vraiment un truc de blanc de “jouer à la domination”. »
    Ce n’est pas un peu tendancieux tes propos ?

  • Membre Inconnu

    Membre
    20 juin 2020 à 18 h 10 min

    Sans surprise je suis féministe intersectionnelle, pro-sexe et pop xD

    https://www.tdg.ch/_external/interactive_wch/tdg/2019/feminisme/intersectionnel.html?1=29&2=87&3=64&4=76&5=78&6=6

    Pour les féministes universalistes : Une des choses qui pèche grave dans votre position est entre autres le rejet des femmes musulmanes à cause du voile. Il se trouve que le féminisme promeut l’émancipation des femmes (et pas la femme, qui ne veut rien dire sauf pour les gens qui veulent normer la vie des femmes => patriarcat). Cela veut dire que personne n’est sensé dire à une femme ce qu’elle doit croire ou porter, ou non. Et de plus, et c’est l’intérêt du terme “intersectionnel” dans le féminisme qui me correspond, les musulmans s’en prennent plein la tronche de la part du pouvoir comme de certaines personnes dans la population. Qu’on soit d’accord ou non avec leurs croyances (je suis ignostique et anticléricale), ce n’est pas une raison pour aggraver leur situation et participer à l’oppression raciste dont cette catégorie de la population est victime. L’universalisme n’est rien d’autres qu’une expression de la pensée coloniale. De l’idée que notre civilisation est supérieure aux autres et que donc nous devrions transmettre les “vraies” valeurs aux autres peuples. Non, je ne mange pas de ce pain là.

    Les tendances politique ont un sens, et ce n’est pas pour rien si le féminisme universaliste se retrouve préché par le gouvernement Macron ou par les libéraux. Le mépris de classe…

    PS: Ne prenez pas mal ma manière de m’exprimer sur ce sujet. Sans sources, ce que j’écris ne ressemble qu’à ma vérité que j’érige en absolue. Donc voici quelques liens :

  • Membre Inconnu

    Membre
    20 juin 2020 à 18 h 52 min

    ben mince alors, le lien du test ne marche plus.

    et puis mon positionnement est étrange. Élevé par une féministe républicaine, la vieille garde du féminisme (Françoise Giroud, Élisabeth Badinter) basée sur une diabolisation systématique du mâle, j’ai bien morflé en tant que garçon. Et j’ai toujours pensé que ma timidité maladive venait de là. Je comprends maintenant que ma douance joue aussi un rôle dans mon mode escargot dès qu’une attirance sincère s’éveille en moi. Dans ma famille, sur 4 garçons : deux pédés (dont un ayant vécu 20 ans d’hétérosexualité destructrice), un asexué, et moi, hétéro qui aime les garçonnes.

    En fait, ce qui me gène le plus, c’est aussi cette séparation homme/femme, qui est pour moi, biologiquement, un mythe (à part la capacité d’enfanter, évidemment). Le féminisme ne fait que faire perdurer ce mythe. Les théories du genre remettent ça suffisamment en cause pour qu’on arrête avec ces conneries. Le patriarcat multi-millénaire prendra peut-être fin avec l’effondrement de la civilisation qui ne devrait plus trop tarder. Sinon, seul un renversement total dans l’éducation pourra aider aussi bien les femmes que les hommes à ne plus se conformer aux rôles pré-établis. Il n’y a pas deux genres, il en existe une multitude.

  • Membre Inconnu

    Membre
    20 juin 2020 à 19 h 47 min

    Merci @Zelos, j’y vais de ce pas.

  • Membre Inconnu

    Membre
    20 juin 2020 à 19 h 59 min

    j’ai donc été mis dans la case pro-sexe à 84%.

    https://www.tdg.ch/_external/interactive_wch/tdg/2019/feminisme/pro-sexe.html?1=31.5&2=74&3=52.5&4=75.5&5=82&6=1.5

    C’est un style de catégorisation réductrice mais c’est vrai que je me sens proche de Despente ou de Butler.

    Et puis c’est nuancé à la fin en parlant de courants cousins, je me reconnais dans ceci :

    Le féminisme Queer critique principalement la notion de genre et l’idée préconçue d’un déterminisme génétique de la préférence sexuelle.

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