[hautpotentieldeconneries]

“Comme je viens de te l’expliquer, la violence des femmes se passe de testostérone et n’est pas aussi démonstrative que celle des hommes. C’est ce qui rend difficile leur identification et même certains jugement, dans des affaires criminelles.”<div>

Oui là je comprends, tu te raccroches aux branches…

Là, excuse moi, mais tu raisonnes mal, je dirais un raisonnement légèrement malhonnête.

Le body count est implacable, les explications hormonales sont des réalités scientifiques.

Bien entendu qu’il y a des violences féminines et qu’elles s’expriment parfois dans l’abomination la plus totale: je pense à la femme du président hutu assassiné qui est allé appeler au génocide à la radio des milles collines pendant des jours, et qui d’ailleurs, coule des jours heureux en France sans être inquiètée, mais c’est un problème de politique française pas de justice.

Mais de là à chercher une parité des violences en invoquant des affaires troubles où la justice n’attraperaient pas les instigatrices perverses de meurtre au second degré, c’est du fantasme né d’un avis pré conçu. Un avis idéologique s’il faut le qualifier. Tu fais rentrer à coup de marteau tes idées dans ce que tu penses être la réalité.

La perversité et les violences existent chez les deux sexes, elle est nettement plus meurtrière chez l’homme c’est un fait objectif corroboré par tous les chiffres de tous les pays.

Encore une fois ça ne fait pas des mâles des monstres que je souhaiterais castrer, par contre un soin particulier doit être porter à l’éducation à la frustration des garçons, à mon sens.

😉

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