[Membre Inconnu]

Je note au passage, que quand je me conforme à ta vision du débat, que j’apporte un argument sans affect et qui est une réalité scientifique (le taux de testostérone) tu n’y réponds pas.

Intolérance à la frustration ?
Figure-toi qu’il m’arrive de travailler…

Tu dis que les hommes et les femmes ont la violence qu’ils peuvent, […] Il n’y a là aucune volonté de faire culpabiliser l’ensemble des mecs pour leur taux de testostérone, mais plutôt de fustiger les hommes qui ne sont pas foutus de contrôler leurs pulsions de meurtre ou de viol, ton esprit aiguisé et sans affects l’aura naturellement compris.

J’ai très bien compris. Donc les hommes ont un taux de testostérone plus élevé et cela les rends violents, alors que les femmes savent se contrôler (en gros).
Sauf que c’est vrai, à la rigueur, pour les violences physiques directes (j’insiste sur ce dernier mot).
La violence des femmes – celles qu’elles commettent envers elles, comme celles qu’elles adressent à autrui – sont indirectes. Les femmes se suicident généralement en absorbant des médicaments, parfois en se défénestrant, plus rarement par pendaison, jamais à l’aide d’armes à feu. Les hommes, c’est l’exacte opposé.
Les femmes criminelles sévissent surtout par empoisonnement ou en faisant appel à un tiers pour exécuter leur crime.
Il y a plus de perversions répertoriées chez les femmes. Certaines de ces perversions visent directement les enfants ou les personnes diminuées comme les syndromes de Lastnénie de Ferjol ou le Munchhausen inversé.
Chez les femmes, la violence est souvent plus psychique ; elle fonctionne sur la durée. Ce qui ne veut pas dire que les hommes n’en sont pas capables.

Comme je viens de te l’expliquer, la violence des femmes se passe de testostérone et n’est pas aussi démonstrative que celle des hommes. C’est ce qui rend difficile leur identification et même certains jugement, dans des affaires criminelles.

C’est clair pour toi @hautpotentieldeconneries ?