Prendre conscience de sa finitude

  • MadameBagayagaBordel

    Membre
    9 novembre 2022 à 14 h 05 min

    @minos

    Non je ne suis pas concernée par la schizophrénie, enfin pas que je le sache ? Puisque c’est une parthologie anosognosique. Mais bon en générale la societé te repère. Et donc de mon côté pas de psychose. Mais merci de t’en soucier.

    C’est un axe intéressant ( à souligner) en dehors de la “psychologie de comptoir”. De chercher peut-être un trouble organique, parasitologique ou chimique dans la disparité des profils conscients ou non de leur mortalité. Et en bout de ligne désireux ou non de vivre.

    Par ailleurs, où as-tu lu que je vente le collectivisme ? Il me semble avoir signalé être heureuse que tu fasse la comparaison entre fourmilière et collectivisme.(D’ailleurs je suis allée me relire et j’ai écris communautarisme à la place de collectivisme. My Bad.)

    D’ailleurs, je ne fais que décrire une mentalité humaine, adoptée par un ensemble assez croissant d’êtres- humains. Sans porter aucuns jugements moraux. Puisque ce n’est pas ce qui est débattu.( La “légitimité” ou non d’un idéalisme.)

    Le postulat de base est: y a t- il des profils cognitifs,physiques et émotionnels spécifiques ,déterminés par la flore intestinale, qui expliqueraient des différences nécessaires à la cohérence des groupes ? (Précison: qui aurait été nécessaire à un moment dans notre évolution.)

    Et je précise, (même si ça me parait évident que l’on décrit des comportements et non que l’on se fait part de nos convictions idéologiques), que ce n’est pas mon opinion.

    Mais un questionnement.

    Si t’as besoin de précisions en privé, ma porte est ouverte.

  • minos

    Membre
    9 novembre 2022 à 20 h 26 min

    Ok @bagayaga … “Autant pour moi” alors ; j’ai extrapolé hâtivement des trucs à tort et de travers en faisant une synthèse erronée sur la base de “mots (que j’estimais être…) clefs” que tu as utilisées dans ton post précédent et j’en ai (donc) conclu des conneries…^^

    Ça doit faire trop longtemps que je n’ai pas eu à te lire pour m’être trompé à ce point sur l’état d’esprit dans lequel tu communiquais sur “tout ça”.

  • MadameBagayagaBordel

    Membre
    9 novembre 2022 à 20 h 43 min

    @minos

    Ça arrive.

  • olbius

    Organisateur
    22 mai 2023 à 15 h 44 min

    l’infini est une catégorie à part Il est incommensurable à toute forme de finitude, même quand on tente de faire déborder celle-ci hors d’elle-même. L’infini est ou il n’est pas : en partant du fini, on ne saurait l’atteindre, ni même l’approcher. En définitive, rien n’existe qui puisse être dit “presque infini”. C’est pourquoi l’adverbe Infiniment ment sur l’infini. Comme s’il se dénonçait lui-même…

    Source : Comment penser l’infini ?

  • minos

    Membre
    25 mai 2023 à 5 h 14 min

    L’infini ?… C’est vrai que ça me laisse songeur.

    Il est difficile de concevoir une chose sans fin (même en considérant qu’elle pourrait avoir un début).

    Ne dit-on pas “au commencement…” ?

    Pour moi, cette conception implique qu’elle est hors du temps et de l’espace lui-même ; même l’espace “intersidérale” qui renvoie le plus à l’infini ne l’est pas ; on s’accorde à penser qu’il a eu un début, et si on accepte l’idée qu’il soit “en expansion”, c’est bien qu’il possède des contours, une limite pour s’étendre… Ce qui exclurait de facto son infinité.

    Pourquoi hors du temps ?… Parce qu’il n’aurait pas lieu d’être dans cette idée qui suggère tout aussi logiquement l’éternité.

    On pourrait aussi se dire rationnellement qu’il existe bel et bien cet infini… Et que nous sommes “ici et maintenant” au beau milieu de lui sans en avoir conscience ; on en apprend tous les jours sur le subatomique (pour ce qui est du micro) et notre discernement de l’immensité de l’univers est parcellaire (s’agissant du cosmos)… Soit, cela peut nous conduire à conclure objectivement que les extrémités de là même où on évolue sont indéfinies… Ce qui laisse place ouverte à cette notion.

  • lapin-blanc

    Membre
    25 mai 2023 à 10 h 02 min

    La cosmologie nous apprend que nous ne sommes ni “dans” l’Univers, ni en dehors😂. Pour moi, parler de la taille de l’Univers est un non-sens, puisqu’on parle d’espace-temps et non pas d’espace. Je penche plutôt pour l’hypothèse d’un Univers sans bord. Je te recommande “une brève histoire du temps” de S.Hawking…

    Aussi selon Einstein, chaque point de l’espace peut être considéré comme le centre de l’Univers, puisqu’il n’a pas centre. zéro est à la fois l’infini et le néant…

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