Prendre conscience de sa finitude

  • minos

    Membre
    9 novembre 2022 à 20 h 26 min

    Ok @bagayaga … “Autant pour moi” alors ; j’ai extrapolé hâtivement des trucs à tort et de travers en faisant une synthèse erronée sur la base de “mots (que j’estimais être…) clefs” que tu as utilisées dans ton post précédent et j’en ai (donc) conclu des conneries…^^

    Ça doit faire trop longtemps que je n’ai pas eu à te lire pour m’être trompé à ce point sur l’état d’esprit dans lequel tu communiquais sur “tout ça”.

  • bagayaga

    Membre
    9 novembre 2022 à 20 h 43 min

    @minos

    Ça arrive.

  • olbius

    Organisateur
    22 mai 2023 à 15 h 44 min

    l’infini est une catégorie à part Il est incommensurable à toute forme de finitude, même quand on tente de faire déborder celle-ci hors d’elle-même. L’infini est ou il n’est pas : en partant du fini, on ne saurait l’atteindre, ni même l’approcher. En définitive, rien n’existe qui puisse être dit “presque infini”. C’est pourquoi l’adverbe Infiniment ment sur l’infini. Comme s’il se dénonçait lui-même…

    Source : Comment penser l’infini ?

  • minos

    Membre
    25 mai 2023 à 5 h 14 min

    L’infini ?… C’est vrai que ça me laisse songeur.

    Il est difficile de concevoir une chose sans fin (même en considérant qu’elle pourrait avoir un début).

    Ne dit-on pas “au commencement…” ?

    Pour moi, cette conception implique qu’elle est hors du temps et de l’espace lui-même ; même l’espace “intersidérale” qui renvoie le plus à l’infini ne l’est pas ; on s’accorde à penser qu’il a eu un début, et si on accepte l’idée qu’il soit “en expansion”, c’est bien qu’il possède des contours, une limite pour s’étendre… Ce qui exclurait de facto son infinité.

    Pourquoi hors du temps ?… Parce qu’il n’aurait pas lieu d’être dans cette idée qui suggère tout aussi logiquement l’éternité.

    On pourrait aussi se dire rationnellement qu’il existe bel et bien cet infini… Et que nous sommes “ici et maintenant” au beau milieu de lui sans en avoir conscience ; on en apprend tous les jours sur le subatomique (pour ce qui est du micro) et notre discernement de l’immensité de l’univers est parcellaire (s’agissant du cosmos)… Soit, cela peut nous conduire à conclure objectivement que les extrémités de là même où on évolue sont indéfinies… Ce qui laisse place ouverte à cette notion.

  • lapin-blanc

    Membre
    25 mai 2023 à 10 h 02 min

    La cosmologie nous apprend que nous ne sommes ni “dans” l’Univers, ni en dehors😂. Pour moi, parler de la taille de l’Univers est un non-sens, puisqu’on parle d’espace-temps et non pas d’espace. Je penche plutôt pour l’hypothèse d’un Univers sans bord. Je te recommande “une brève histoire du temps” de S.Hawking…

    Aussi selon Einstein, chaque point de l’espace peut être considéré comme le centre de l’Univers, puisqu’il n’a pas centre. zéro est à la fois l’infini et le néant…

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