Perte de valeurs c’est quoi ce monde !?

  • ilya

    Membre
    31 octobre 2020 à 13 h 12 min

    @Alfamag

    Je le ferais à l’occase ! Bon allé, on a assez monopolisé la discut, tchouss

  • Membre Inconnu

    Membre
    31 octobre 2020 à 13 h 18 min

    @ilya

    ok mec, oui c’est vrai, à plus !

  • Membre Inconnu

    Membre
    31 octobre 2020 à 13 h 43 min

    @Alfamag

    @ilya

    Il me semblait que Dieu était Amour.

    Il me semblait que les religions étaient des messages et préconisations de Dieu.

    Il me semblait que les religions les plus répandues promettaient le paradis aux meilleurs et l’enfer aux plus méchants.

    J’ai crû comprendre que des hommes pouvaient tuer pour une religion…..

    Où est l’Amour de Dieu ?

    Il me semblait que des guides avaient instauré des révolutions….

    Sans entrer dans le détail, combien de révolutions ? Pour en arriver où ?

    Tout ça pour dire que tu avais raison @ qd tu as parlé des ventes d’armes (d’où le silence radio); tu avais également raison @Ilya, on ne peut avoir aucune certitude sur cette terre.

    Mon humble avis est qu’aucune croyance et aucune révolution ne changeront notre monde.

    Je crois que pour améliorer notre humanité, chacun doit faire un travail personnel sur sa petite personne pour essayer de s’améliorer en s’entraînant à aimer inconditionnellement son prochain.

    Ne délirons plus de grands desseins et contentons nous de toutes petites révolutions en essayant de nous améliorer. En apportant chacun notre petit grand de sable, peut-être formerons nous la caravane de l’Humanité pour nous rendre vers le point oméga…… un monde meilleur pour les futures générations…

    😊 Rassurez vous je n’ai pas fumé ma moquette, j’en rêve de ce monde là 🤩

  • bagayaga

    Membre
    31 octobre 2020 à 13 h 49 min

    Je crois que c’est sociétal de penser que l’humanité s’avilie^^ Alors que si on ouvre les yeux, que l’on regarde vraiment, il n’y a rien d’aussi manichéen.

    1. La citation est de Socrate, philosophe grec, qui a vécu de 469 à 399 avant Jésus Christ.

    2. La citation est tirée du poète grec Esiode qui a vécu 720 années avant Jésus-Christ.

    3. La citation est tirée d’un prêtre égyptien qui a vécu 2000 années avant Jésus-Christ.

    4. La citation a été récemment découverte dans une carrière d’argile dans les ruines de Babylone, et aurais plus de 3000 ans.

    5. La citation est tirée du livre VIII de « La République » de Platon, qui a vécu de 428 à 347 avant Jésus Christ.

    Il y a toujours eu comme j’aime à citer Démocrite, des fous, des enfants et des sages^^

    J’ai le sentiment que ce n’est pas en se contractant que l’anthropocene acquièrera ses lettres de noblesses.

    Je pense qu’on ne peut juger l’humanité sur quelques siècles,voir même millénaires.

    Il faut avoir la curiosité de chercher à comprendre la période totale.

    En commençant avec le passage des protos humains à humain.

    Imaginez-vous un instant qu’entre le moment où le premier homme a marché debout et la création du premier outils il a fallu au cortex, 4.4 millions d’années.

    Alors je trouve ça un peu avorté de juger l’espèce humaine, du peu que l’on entrevoit depuis la proto histoire. En restant prudents car nous savons fort bien que les écrits ne sont pas impartiales.

    Que le comportement de certains vous débecte est un fait. Bien sur que je suis révoltée moi aussi par certaines bêtises, certaines bassesses, certaines ignominies.

    Mais j’essaye de replacer les choses dans leurs Contextes. J’essaye de m’exercer à la dialectique. Thèse, antithèse, synthèse. Pistes de réflexions complémentaires.

    Alors pertes de valeurs ? Quelles valeurs ? Quand? Comment? Pourquoi ?

    Est-ce la vérité ? Ou une rumeur hystérique que l’on se propage communément pour encore plus noircir les charges que l’Homme assomme à sa propre espèce ?

    Qui a des preuves?

    Je veux dire les gens qui s’expriment publiquement, dans les médias ne sont pas forcément les représentants de la majorité. Pensez à tout ceux qui se taisent. Comme le vote blanc ou l’abstention. Comme un panel d’études statistiques, une photo Polaroid.

    Ce ne sont que des instantanés. Propres à une situation, régis par des dynamiques de groupes propre à notre espèce et son évolution. Si nous voulions vraiment rendre cette question pertinente, et y répondre, sans tous donner son petit avis de dégouté de l’homme et de la société, il faudrait un temps infiniment plus long déjà pour extraire tout les champs que recouvre cette assertion.

    Je ne sais pas si nous perdons des valeurs ? Ou si devenir adulte enclenche un comportement conservatiste.

    Depuis la maternelle, le plus loin que je me souvienne j’ai toujours eu le sentiment d’avoir des camarades avec des valeurs moins solides,moins profondes et moins nobles que les miennes.

    Ma mère m’a eu à quarante ans. Elle est née en 1948, moi en 88, les mères de mes camarades en moyenne dans les années 60/70. Ce n’était pas les mêmes valeurs.

    Ma mère est née sans père à la fin des années 40, elle a eu 20 ans en 1968, a fait la révolution, s’est battue pour que la société soit moins rigide. Quand naissaient les mères de mes pairs.

    Sa situation familiale a aussi endiguée d’autres valeurs que celles d’enfants nés dans le mariage.

    De quelles valeurs parle-t-on ?

    Qui peut se targuer d’avoir une morale impeccable et aucunes tâches sur son âme ?

    Que sait-on de ces gens que l’on observe à un instantané sur leurs vertus et leur honneur ? Qui peut juger d’un instant d’égarement et signer une perte de valeur totale pour un seul “méfait.”

    C’est humain de repérer, toujours ce qui va mal. C’est la survie. Et l’évolution, le sentiment que tout est toujours perfectible.

    Mais dans ce mouvement, ce mécanisme,cette démarche on délaisse,on oublie et on perd un pan entier de la réalité.

    Il me semble qu’il serait de bon ton de prendre le temps avant de signer une accusation. Et d’être juge et partie de notre propre espèce.

    A ce noircir le portrait de la sorte nous avons créée un age de marasme, de dégoût , et d’immobilisme.

    Où tout est fait, tout est joué,et où il n’y a plus rien à faire..

    Et c’est tellement délétère.

    J’aimerais tellement ouvrir le cœur meurtri de tout ces pessimistes. Ce comportement toxique que l’humanité adopte. Le fameux foutu pour foutu, de toute façons nous sommes des monstres. Nous méritons de nous détruire et de disparaître.

    C’est selon moi une méprise et une hérésie insidieuse qui ne nous mènera jamais plus loin qu’une terrible et ignoble médiocrité hypocrite.

    Quand l’humanité sortira de sa dépression oisive et sa paresse. Qu’elle ira chercher des instants de réalités plutôt que de répéter depuis des millénaires les mêmes absurdités.

    A cet instant il pourra ce passer des choses folles, grandioses.

    Et la réalité deviendra acceptable.

    En attendant de mon côté je préfère me faire ma propre opinion, allez chercher mes informations et éviter d’adhérer à des thèses toutes faites.

    Et lorsque je me fais surprendre ou je me surprend à penser des croyances sans base théoriques solides. De répéter des généralités. J’aime que mes amis, les interlocuteurs du moment me fassent réaliser que je n’ai pas pris le temps de vérifier ce que je pense. Et que faire des généralités est forcément un procédé absurde. Tant les choses changent, évoluent et rien n’est figé dans le marbre^^

    Sauf bien sûr l’idée que les nouvelles générations sont pouries et que le monde est foutu à cause d’elles.

    Essayez de ne pas noircir le tableau, quand la tâche d’ombre évolue, mute grandit et se résorbe en fonction du parcours de la lumière dans la journée. Rester conscient que tout est relatif dans le temps et dans l’espace. Et aussi dans le cœur de l’humanité.

    Je sais que cette pensée est terriblement folle au millieu de tout ce pessimisme et cette auto violence. Mais j’aime l’humanité. J’aime l’étudier,l’observer,la haïr,puis la laisser en paix.

    J’aime vivre et j’aime regarder vivre les autres. J’aime que mon quotidien soit une succession de moments doux et respectueux.

    Même si bien-sûr il y a des agressions diverses et variées et de la bêtise. Mais cela ne dur qu’un instant. Et pour le restant que je ne peux maîtriser,il y a aussi de belles surprises.

  • Membre Inconnu

    Membre
    31 octobre 2020 à 14 h 06 min

    @babayaga

    “Je pense qu’on ne peut juger l’humanité sur quelques siècles,voir même millénaires.”

    Le truc c’est que là on parle du présent quoi…

  • Membre Inconnu

    Membre
    31 octobre 2020 à 14 h 09 min

    @laura6181

    “@Alfamag

    @ilya

    Il me semblait que Dieu était Amour.”

    Bah je parle pas d’autre chose si tu lis bien.

  • Membre Inconnu

    Membre
    31 octobre 2020 à 14 h 09 min

    @bagayaga oui c’est que je disais, vachement vieux mais j’ai aucun mérite, j’ai cherché sur gogole 🤣🤣

  • max

    Modérateur
    31 octobre 2020 à 15 h 38 min

    Perte de valeurs… oui, peut-être… on peut se joindre au discours général et regretter le bon temps des colonies, ou au contraire se dire que certaines valeurs sont obsolètes, qu’il serait temps de les lâcher. Mais dans ce cas, que reste-t-il ? De l’instabilité car on perd effectivement un socle commun, les temps sont au communautarisme, à la méfiance face à un gouvernement de plus en plus contesté, à la peur face au climat, aux maladies, au terrorisme… donc chacun a son opinion, et chacun la trouve aussi légitime qu’il le souhaite…

    Donc, en matière de valeurs, de grands principes, on se retrouve à poil. Et on peut le rester, au nom de la liberté de pratiquer le naturisme idéologique, mais au bout d’un moment, on va se cailler les… valeurs ! Donc, d’autres habits vont venir, qu’on le veuille ou non. D’autres valeurs, plus éloignées des principes judéo-chrétiens, c’est effrayant, car c’est l’inconnu, mais comment savoir si ce sera mieux ou moins bien ?

  • Membre Inconnu

    Membre
    31 octobre 2020 à 16 h 19 min

    Bonjour,

    les valeurs traditionnelles sont en train se se faire botter le derrière effectivement… Et on peut s’interroger sur ce qui pourrait les remplacer. Dans quelle mesure peut-on choisir ce qui se prépare de notre avenir ? Quel monde va-t-on pouvoir se partager ? Pour ma part, j’y réfléchis sous un angle beaucoup plus global que national. Nous sommes tous en train de nous mélanger gaiement les idées comme les patrimoines génétiques (les gens qui sont métissés sont selon la science les plus robustes ADN, et il en est de même pour les idées). Je reviens souvent à la comparaison sans faille établie entre la Révolution Française de 1789 et la Révolution mondiale en préparation. cf lien ci-dessous. C’est inévitable : nos actions à tous depuis belle lurette ne peuvent pas produire d’autre résultat. Je pense que le monde n’en sera que meilleur, mais quand ? Je ne sais pas.

    https://www.universalis.fr/encyclopedie/tiers-monde/

  • Membre Inconnu

    Membre
    31 octobre 2020 à 16 h 32 min

    Hello @max

    et patatras ( rien d’agressif ), je te réponds juste :

    “Perte de valeurs… oui, peut-être…”

    Non, déjà sûr, si tu mates un peu le boxon planétaire, perte de valeurs claires et nettes. Genre rien que les religieux qui se comportent clairement en anti-religieux ? C’est même plus une perte de valeurs, c’est carrément une inversion des valeurs !

    “on peut se joindre au discours général et regretter le bon temps des colonies”

    Oh que non, le bon temps des colonies, tu plaisantes j’espère ? Même si ça nous a apporté le confort actuel aussi, je suis toujours plus pour l’égalité entre les peuples que pour le confort de certains par rapport à d’autres ! Et tant pis pour le confort sérieux ! Oui, facile à dire, mais si on en a la forte conviction ?

    “, ou au contraire se dire que certaines valeurs sont obsolètes, qu’il serait temps de les lâcher. Mais dans ce cas, que reste-t-il ?”

    Oui enfin là tu dis un peu tout et son contraire non ? Car valeurs à garder ou pas ? Y’a un peu tout dans ta phrase là non ?

    “De l’instabilité car on perd effectivement un socle commun”

    Là bien d’accord

    “, les temps sont au communautarisme”

    Bah si on ne se bat pas contre, c’est sûr, c’est la merde de ce côté !

    “,à la méfiance face à un gouvernement de plus en plus contesté, à la peur face au climat, aux maladies, au terrorisme… donc chacun a son opinion, et chacun la trouve aussi légitime qu’il le souhaite…”

    Oh là, donc ok, pour toi tout est un fourre-tout général donc pas de combat légitime quoi ? T’es vraiment sûr sérieux ?

    “Donc, en matière de valeurs, de grands principes, on se retrouve à poil.”

    Bah selon ce que tu viens d’expliquer, clairement pas non.

    “Et on peut le rester, au nom de la liberté de pratiquer le naturisme idéologique, mais au bout d’un moment, on va se cailler les… valeurs !”

    J’avoue que je ne sais pas ce qu’est le naturisme écologique, donc je ne peux pas te répondre sur ce point.

    “Donc, d’autres habits vont venir, qu’on le veuille ou non.”

    Ca pour sûr ! On est pas au bout de nos surprises, tout autant en bien qu’en mal !

    “D’autres valeurs, plus éloignées des principes judéo-chrétiens, c’est effrayant, car c’est l’inconnu, mais comment savoir si ce sera mieux ou moins bien ?”

    Bien d’accord, ça reste à voir. Mais pour sûr, si on se bouge pas le cul, ce sera moins bien !

    Après, éloignées des principes judéo-chrétiens, possible ! Mais comme tu dis, on ne sait pas de quoi est fait l’avenir, donc pourquoi pas du positif de ce côté non plus ?

    Après c’est sûr, si on a pas d’espoir en ça ni en rien d’autre, pourquoi se battre, comme je le fais d’ailleurs si t’as remarqué ? Et si tu as compris aussi mes propos depuis un moment ?

    Y’a rien de sectaire dans mes propos, juste des tentatives de solutions.

    Qui le fait ? Je me sens seul quoi ! Et tant pis si je suis critiqué je t’avoue.

    Bise à toi

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