[Membre Inconnu]

@momosse

notre seule présence “empiètera” de toute façon, quelque peu et à un moment ou à un autre sur nos contemporains proches ou même, plus lointains.

certes mais pourquoi dire que la présence du voisin serait plus légitime que la sienne.
Si on demande la renonciation à un droit secondaire voir tertiaire pour un droit primordial, la demande ne peut elle pas être lancée?

[Membre Inconnu]

@norbert

Je ne prétends pas que “sa” (“ma” ou “notre”) présence prévaudrait sur celle de “l’autre” (l’étranger), mais que la promiscuité entre individus entraîne des tiraillements interhumains, des tensions qui sont issues de nos perceptions (justes ou non), provenant de ce que nous communiquera (intentionnellement ou “à son corps défendant”) notre voisin, comme de ce qu’on lui renverra (volontairement ou pas) nous-même.

[Membre Inconnu]

la promiscuité entre individus entraîne des tiraillements
interhumains, des tensions qui sont issues de nos perceptions (justes ou
non), provenant de ce que nous communiquera (intentionnellement ou “à
son corps défendant”) notre voisin

Oui