Expérience de mort imminente

  • adrien14

    Membre
    2 octobre 2020 à 22 h 39 min

    @faiseuse-de-foret

    Mince alors, j’avais aussi fait une réponse beaucoup moins précise du style et paf elle a disparu (mon ordi a complétement bugger et c’est éteint)

    @seayou Je suis complètement d’accord avec ce que tu as écris sur le côté spirituel et historique, un peu moins sur le côté de la psychanalyse mais passons, c’est des querelles de chapelle.

    Cependant pour ce qui est des “gourou” en effet il en existe.

    Mais il faut comprendre que dans la conception spirituel du “monde” que tu décris le “divin” ou la source est accessible par le moi profond, c’est à dire les idées qui sont en dualité avec le mental.

    Et c’est en ce sens ou sur notre dimension actuel ou notre âme est incarnée nous possédons un libre arbitre (alors que dans certains plans d’existence ce n’est pas le cas)

    Ainsi nous pouvons très bien “recevoir” l’idée de nous faire un thé (idée qui proviens de nos guides/anges/âmes du corp supérieur) etc. mais refuser de nous faire ce thé !!! car le mental va dire “non, je n’ai pas envie de me lever”, ou d’autres excuses du type !!

    Bon, si tu es courageux d’écouter une personne qui dis de communiquer avec les sphères supérieures et les “être de lumières” et de les voir je te conseil d’écouter cette vidéo.

    Bon je sais c’est difficile à “comprendre” rationnellement mais bon ce qu’elle décris au niveau des “sens” et des différents monde n’est pas idiot et rejoins ton exposé.

    https://youtu.be/q0pURcfPCuA?list=PLsDEIBvgUJpxrQMyGyXooOjhHSdILamuF

    Voici quelques prises de notes qui expliquent tout cela :

    J’avais commencer une nouvelle discussion sur le sujet, mais comme vous avez aborder le sujet sur ce post autant continuer ici.

    -En rapport avec la science connais tu la fréquence de Schumann ? Le fait que la Terre possède une “fréquence” ?

    On sait que la Terre pendant des milliers d’année avait une fréquence à 7Hrz. Or ce que l’on observe c’est que depuis le changement d’ère et la fin du calendrier Maya (2012) et Hindou (Kali Yuga) nous sommes passés de l’ère du poissons à l’ère du verseau.

    En parallèle la fréquence de la Terre a changée.

    Nous sommes passés d’une fréquence de 7Hrz (qui correspond à la 3ème Dimension) des pics de fréquences jusqu’à 60Hrz (qui correspond à la 6D)

    Cette mise à jour est assez récente et avant qu’il y ai ces différents pics il y a eu une sorte de mise à jour avec (1) des ondes bizarres pendant 60h00. (2) Un blackout de la fréquence de le Terre. (3) L’apparition des Pics jusqu’à 60hrz.

    La “théorie” au niveau spirituel/philosophique serait que l’être humain dois accomplir son “ascension” et le changement vibratoire de la Terre servirait à l’aider à accomplir ce changement d’état.

    Le changement de vibration permettrait ainsi à changer la vibration de nos cellules (nous sommes composés à 80% d’eau et les vibrations/fréquences impactent en priorité l’état de l’eau) et modifieraient ainsi nos brins d’ADN ce qui permettrait d’activer certaines capacités de nos corps non encore “présentes”.

    LA SCIENCE DES ELEMENTS

    Il y aurait quatre plan d’incarnation qui correspondent aux quatre éléments

    TERRE – EAU – AIR – FEU

    (CORPS PHYSIQUE-CORPS ENERGETIQUES SENTIMENTS EMOTIONS, MENTAL EVOLUTIF (mental +idée) – (Partie divine = NON PRESENT SUR NOTRE SPHERE)

    L’ERE DU POISSONS

    => SOUVENT LIE AUX EMOTIONS

    => DETERMINENT LES DECISIONS DU MENTAL

    ERE DU VERSEAU

    => REMONTER VERS LE haut

    MAITRISE DES EMOTIONS = VIBRATIONS POSITIVES = VERS LE HAUT

    NON MAITRISE DES EMOTIONS = ENFERMEMENT

    Ainsi, notre plan d’existence actuel (enfin l’ère du poissons) avait pour objectif que l’on apprenne à “maîtriser nos émotions” pour augmenter notre niveau de vibration.

  • generatrice_de_vierges_chemins

    Membre
    3 octobre 2020 à 7 h 51 min

    @cineaste : Je n’avais pas l’intention de tout décrire mais de donner des priincipes de fonctionnement de base.
    De toute manière tu es tout le temps dans la critique & as l’habitude de prendre le contrepied de mes interventions mais sous-entendre que je serais limitée pour cause d’autisme c’est on ne peut plus petit. Je t’invite @ présenter des exuses sans tarder pour cette bassesse & t’ignorerai @ l’avenir·
    J’ai mentionné la noosphère pour faire une analogie comme réponse @ un autre intervenant, je ne m’approprie pas le terme contrairement au reste de ce que j’écris.

    @SeaYou : Merci, je me suis sérieusement mise @ douter de moi…
    Je pense différencier deux types d’inconscient : la partie réflexe qui n’est pas localisée dans les hippocampes mais dans d’autres régions ; qui gère nos niveaux hormonaux, la contraction de nos vaisseaux sanguins… Pour celle-la il n’y aurait qu’à étudier notre physiologie & aviser s’il y a d’autres subdivisions à faire ; & la partie comment dire psychique ou intelligente, localisée dans les hippocampes, qui a trait au traitement de la mémoire & aux fondements de nos systèmes de pensées & nos désirs & dont on peut avoir partiellement conscience dans le cadre de son échange constant avec l’esprit conscient. Donc je pourrais dire ‾un inconscient perceptuel & un inconscient mental‾·

    Je n’ai pas étudié la science de l’énergie autant que toi, moi j’en suis restée @ l’idée que la gravité quantique @ boucles soit très convaincante pour l’unification de la relativité générale au monde quantique & notamment qu’elle dise que l’espace soit fait de petites parties indivisibles… J’ai mentionné les champs seulement comme une sommaire comparaison pour dire que l’esprit soit une zone particulière de quelquechose de plus vaste.

    Si tu veux en savoir plus tu peux lire ma publication sur le site ˜ChaéLande˜ dans la rubrique ˜ressources˜ ˜les paradigmes de l’esprit˜ où j’explique davantage chaque forme d’esprit & où tu retrouveras une correspondance approximative avec les ´´corps en Sanskr’tam — je parle d’esprit & non de corps en général @ moins qu’il y ait une forme corporelle — mais je suis contente de te lire sur le plan causal car il me causait justement beaucoup d’interrogation — ça correspondrait @ ce que j’appelle ‾âme‾ & non ‾esprit‾ —, & si un jour tu te sens de livrer ton explication sur les deux plus hauts plans je te lirai avec grand intérêt·

    Comme quelques personnes neuroatypiques j’ai une sorte d’aptitude qui me permet d’assister en parallèle @ l’arrière-plan de ma pièce de théâtre´´ cognitive d’où des connaissances sur mes propres processus, mais je ne connais pas vraiment les plans les plus élevés car je n’ai pas de point de départ pour les étudier sur moi-même, cela fait que je ne suis pas sûre de ce que je dois mettre en haut ce diagramme qui représente mon modèle, mais sinon je suppose que tu sauras aisément y positionner les noms en Sanskr’tam correspondants·

    Je pense être au-moins un peu spirituelle mais suis susceptible de m’emporter & n’essaye pas de le rééduquer (seulement le fait de le faire avec douceur pour que je n’en sois pas impactée ni que je blesse autrui) car je ne comprends pas l’intérêt du contrôle suprême du mental sur le perceptuel, pour moi ce serait renier quelquechose qui fait partie de moi & qui a probablement sa raison d’en faire partie… Surtout sachant que je sois réputée pour être trop cérébrale je préfère être une personne équilibrée & ma vision est qu’inhiber volontairement mon plan perceptuel me rendrait trop intellectuelle donc déséquilibrée. Je pense qu’il est parfois bénéfique de faire taire son mental & être au contraire pleinement dans ses perceptions (ce qui selon mon paradigme englobe du moins au plus subtil sensations émotions & sentiments)·

  • Membre Inconnu

    Membre
    3 octobre 2020 à 15 h 53 min

    Deizmat d’an holl ! ^^

    @Adrien14 Mes explications étaient un peu allégoriques, c’était pour donner des pistes de réflexion. Mais se représenter le réel à l’instar d’une lumière blanche, qui peut être décomposée en 7 bandes d’énergie, ça me semble une manière assez correcte de voir les choses.

    J’aurais pu éviter de parler du rayonnement électromagnétique étudié en physique quantique (je sais que le mélange des genres pourrait m’être reproché par des collègues, ils n’auraient pas complètement tort…), mais c’était pour bien insister sur le fait que tout ça est “réel”, physique. C’est pour forcer les gens à ne plus raisonner de façon binaire (matériel/spirituel). Car ces notions n’ont plus de sens en physique : tout peut être décrit par des fonctions d’ondes et l’énergie a une masse nulle…

    Maintenant, la suite risque de ne pas te plaire. Je n’en sais rien, mais si tu m’as déjà lu, il n’y a jamais rien de personnel dans ce que j’aborde. Ce qui m’importe, c’est d’être au plus près de ce qui me semble le plus pertinent, et de faire en sorte de vulgariser tout ça, ce qui n’est pas toujours évident. Et si la personne à qui je m’adresse est attaché à ses théories, car elles lui ont permis de donner un sens à des choses assez personnelles, bah c’est violent de faire face à quelqu’un qui lui dit de tout balayer. Je le sais pour être passé par là : cela m’a valu de faire pas mal de dépressions existentielles. Donc je suis emmerdé, car je ne sais pas si j’aide toujours. Je ne connais pas assez mes interlocuteurs sur ce forum.

    ——-

    Pour le concept d’inconscient, le raisonnement que j’ai proposé est une méthodologie logique que j’utilise pour la partie épistémologique de mon taff. C’est ni plus ni moins de la méréologie. Bon, c’est du jargon, mais ce n’est pas si dur que ça. Si tu as un ensemble bien défini, qu’il possède une propriété, alors tous les éléments de cet ensemble se doivent de posséder la même propriété. Tu n’as même pas besoin de tous les connaître un par un. Donc pour donner un exemple concret, si cet ensemble est un sac d’oranges, on peut imaginer qu’il aura la propriété d’être de couleur orange. Et si l’ensemble est de couleur orange, alors les éléments qui le composent sont nécessairement orange. C’est juste une règle de logique.

    Et ça fonctionne pareil pour les concepts, dont le rôle est de définir un ensemble limité d’objets (comprendre “objet” par opposition à “sujet”, ça peut être une idée, une table, n’importe quoi qui n’est pas le sujet). Si ledit concept est l’inconscient, avec comme déf. formelle “ensemble de tout ce dont on n’a pas conscience”, hé bien ça représente bcp de choses. Si l’on s’en tient rigoureusement à la définition, ça représente ce qu’il se passe en ce moment en Australie, qui échappe totalement à ma connaissance, et donc à ma conscience. Donc pour limiter ces cas de figure, on va préciser “cognitif”, car ce qui nous intéresse, ce sont prossessus mentaux ou psychiques. Et dans cet ensemble, s’il y a des objets qui ont des propriétés différentes, alors ils renvoient nécessairement à deus sous-ensembles logiques. Cela nous permet de préciser de plus en plus notre pensée, de se rapprocher de la complexité.

    C’est un travail que j’ai mené sur le concept ontologique de l’être, qui par définition, renvoie à tout ce qui est ! C’est… vaste ! Et comme c’est un point de départ qui a permis la naissance de la logique, cela reste à mes yeux une véritable révolution conceptuelle, car à partir de là sont nés tous les courants philosophiques occidentaux, et qui ont façonné notre culture. Mais si nous nous bornons à l’ontologie, on peut s’intéresser ensuite à la théologie (scolastique), où l’être est assimilé à “D.ieu”, mais on a très vite fait de tourner en rond, car la science a besoin d’un minimum de faits et d’expériences pour avancer. On ne peut pas se borner aux démonstrations, comme des mathématiciens. Quoi qu’il en soit, les Anciens n’étaient pas les sombres ignares supersticieux que certains s’imaginent.

    Ils avaient très bien compris que tout langage posait un problème de logique dans notre rapport au réel. Car le mot et la chose qu’il désigne ont des propriétés différentes, et donc renvoient à des ensembles différents. Le mot est figé sur le papier, avec une définition qui ne changera pas. Les écrits peuvent traverser les âges. Or la chose est changeante, elle peut devenir autre chose que ce qu’elle est dans l’instant T. Donc à quel réel se réfère exactement les mots ? C’est beaucoup plus subtil et profond qu’il n’y paraît. Et force est de constater que le lien que nous faisons entre le mot et la chose est analogique, car il n’y a aucune équivalence de nature et ils possèdent des propriétés différentes. Nous faisons juste correspondre des ressemblances. Et comme notre langage, tout comme le réel, obéissent aux mêmes lois, comme le principe de non-contradiction, ça marche très bien, d’un point de vue fonctionnel. Mais quid de leur nature, de notre interprétation, du sens que l’on met derrière, là c’est loin d’être simple.

    Le langage est une construction qui repose sur un ensemble limité de symboles. Dans le langage de Saussure, c’est ce que nous appelons des “signifiants”. Comme ils sont liés aux “signifiés” (sens) de manière analogique, alors il peut très bien exister d’autres types de symboles, qui ne sont pas une construction humaine, pouvant – de façon tout aussi analogique – avoir un sens, une signification. Et dès que nous avons compris ça, nous avons en partie compris la pensée ou la psychologie dominante dans l’Antiquité. Dès que les Sages ou les prêtres ou les druides voyaient des présages, c’était des symboles qui avaient un sens, c’était un langage. Les druides l’appelaient le langage des dieux. Car comme je l’écrivais, s’il y a une communication, il y a nécessairement un émetteur ou un expéditeur. Et selon les cultures, c’était libre d’interprétations. Les dieux, les anges, les ancêtres, il y a l’embarras du choix ! Mais le rôle de ce langage d’initié et ésotérique était de reconnaître les signes envoyés par le Monde Invisible.

    Où je veux en venir ? Cela semble un peu HS, c’est un long détour… ^_^’

    Les Pythagoriciens pensaient que les figures géométriques et que les symboles mathématiques étaient un langage universel, partagé par tous les êtres de la Création. Ils s’en servaient comme outil protocolaire pour entrer en communication avec des “esprits”. Comme Pythagore n’a rien écrit de son vivant, comment on le sait ? C’est grâce à ses disciples néopythagoriciens, tels que Jamblique (dont le maître était Porphyre). Bon, il s’aidait de trucs qu’il reniflait (lol), on parle d’encens, peut-être des hallucinogènes, chaque branche mystique avait sa drogue héhé Et cette pratique porte le nom de théurgie. Et tout ça a eu une influence considérable dans le domaine de l’Alchimie, dans notre monde chrétien au Moyen-Âge. Pour invoquer les “démons”, ça s’appelait alors la goétie. Et ce fameux langage dont je parlais, fut repris par les Alchimistes à travers leurs ouvrages. Ils l’ont baptisé la langue des oiseaux. Et en 2020, grâce à Internet, c’est quelque chose qui est devenu assez populaire (pour quiconque aime bien mâter des machins un peu ésotériques).

    Oui mais c’est chiant, c’est long, quel rapport avec la psychanalyse, accouche ! 😀

    On se servait jadis de ce langage pour décoder le sens des présages, mais aussi les rêves ! L’interprétation quant à qui est l’expéditeur a toujours changé d’une culture à une autre, jusqu’à ce qu’un certain Freud, qui était à fond dans l’occultisme, décrète qu’il s’agit de notre inconscient. Etymologiquement, conceptuellement, il n’y a rien à redire. Ce concept se retrouvait déjà dans le bouddhisme, d’autres auteurs occidentaux, Freud n’a rien inventé. Mais il y a greffé toute une théorie qui change radicalement avec la conception d’alors. Le langage des oiseaux est devenu le langage de l’inconscient. Sa fonction n’est plus de communiquer avec un “Invisible”, mais dans un trip un peu égotique, ce serait de pouvoir mieux se “décrypter”. Et d’avancer comme hypothèse, qui est non des moindres, que cela permettrait de résoudre n’importe quel trouble psychique. Ouep ! Quand même ! C’est… ambitieux ! ^_^’

    D’où les liens que j’ai postés, car très concrètement, ça a été un échec total. La plupart de ses patients se sont suicidés, d’autres comme Anna O., qui fut déclarée comme entièrement guérie par Freud, s’est finalement révélé être un mensonge, car la pauvre a fini en Institut psy encore plus “détraquée” (sources à l’appui), etc. Donc c’est un peu plus qu’une guerre de chapelles, car c’est quand même dangereux. Nous sommes dans des choses “ésotériques” ou “spirituelles” (si on veut). Et forcément, avec des concepts très généraux, cela nous donne l’impression de tout comprendre, mais quand on creuse un peu plus en profondeur, on s’aperçoit que nous ne sommes qu’à la lisière de la forêt. Et même si nous n’avons pas encore les plans de cette forêt, la science et les neurosciences permettent au moins de dégrossir, elles nous indiquent déjà là où il n’y a pas de chemins. Et pour ce qui est de l’inconscient freudien, c’est clairement une impasse, vaut mieux pas y rester trop longtemps.

    A titre personnel, je pense que notre “conscience” est plongée dans 7 couches, et que dans certaines couches, elle peut très bien être en contact avec d’autres consciences, échanger, puis nous renvoyer des infos. C’est une sorte d’Internet spirituel, à l’instar du concept de psychosphère que j’avais évoqué. Mais c’est juste un concept, pour nous aider à interpréter, peut-être que derrière il y a autre chose, d’autres processus. Il ne faut pas s’imaginer que nos modèles ou nos représentations sont “vraies” dans un sens absolu, tout est voué à évoluer, à se remettre en question, etc. A minima, ce sont juste des pistes de réflexions, et qui valent ce qu’elles valent ^^

    ——-

    Ma réaction à la suite de ton message risque d’être pas mal long aussi…

    Le temps défile et je ne vais pas pouvoir tout expliquer. Déjà “divin”, “âme”, “libre-arbitre” (etc.) sont des concepts qui appartiennent à un système de pensée bien défini (christianisme). J’aurais tendance à conseiller de mettre tout ça de côté, pour avoir un regard neuf… Car tous ces concepts posent problème…

    Le libre-arbitre est à la base une notion métaphysique et religieuse. Nous la retrouvons dans l’Avesta (de mémoire) et les enseignements de Zoroastre. Puis dans les fondements de la morale chrétienne (choix entre le bien et le mal). Or cela pose problème avec le déterminisme. Et surtout, avoir le choix n’est nécessairement un signe de liberté. Le concept était sans doute parfait pour une humanité qui vivait au premier millénaire avant notre ère, mais là faudrait peut-être passer à autre chose. Imagine que tu te sois perdu en forêt. Là, tu as le choix de tourner à droite ou à gauche. Le fait d’avoir le choix est-il le signe d’une quelconque liberté ? Pas du tout, tu es perdu ! C’est plutôt une situation contraignante…

    Si tu connaissais ton chemin, tu aurais tourné sans même te poser la question du choix ou de la liberté. Il vaut mieux voir la liberté comme en lien avec ton savoir, tes expériences, et donc ta conscience. Ce n’est pas quelque chose de binaire (je suis libre / je ne suis pas libre). Et je sais que ça va piquer un peu, mais il y a des personnes dont le degré de liberté est proche de zéro. Ils n’auront aucun contrôle sur les événements, ils les subiront et les enchaîneront. Car ils les auront eux-mêmes provoqués dans une vie antérieure, ils ont créé leur propre réel, c’est juste l’image extérieure de ce qu’ils sont intérieurement. C’est ainsi qu’on apprend, en se confrontant à nous-mêmes. S’ils n’apprennent pas et continuent à générer des actes et des pensées qui les asserviront, c’est la boucle infernale.

    Heureusement, il n’y a pas de “négatif” ou de “positif”, il faut vraiment zapper les dualismes. Il faut voir ça comme des fréquences. Plus la fréquence est basse, plus la longueur d’onde est importante (comme si tu étirais l’onde). Et ça s’étalera sur une temporalité importante. Plus la fréquence est haute, plus la longueur d’onde est petite (l’amplitude est plus importante), et ça s’étalera sur une temporalité plus courte. Là est notre Salut, si tu as compris ça, tu sais qu’il n’y a aucun fatalisme. Car les “bonnes” actions, celles qui te font sentir libres / épanouis, et celles qui rendent les autres libres / épanouis, auront un impact important et “immédiat”. Donc s’il y a le retour d’une “onde” très basse, qui allait moduler le réel de telle sorte que tu vas le sentir passer, hé bien tout ce que tu feras dans le bon sens pour toi et pour les autres, atténueront ou élimineront le “mauvais karma”.

    De notre point de vue, on peut ressentir de l’injustice quand il y a un mec qui agit mal, qui détruit la vie des autres, et qu’il n’y a aucune “justice divine”. Sauf qu’ils le paieront sur le long terme. Et entre temps, tout sera fait pour qu’ils évoluent, afin qu’ils puissent être prêts à l’encaisser. Et là, pareil, quand on voit des personnes super intelligentes, la main sur le coeur, qui perdent du jour au lendemain leur femme et leurs gosses dans un accident de voiture, ça nous fout la rate en l’air. On maudit “D.ieu”. Alors qu’Il n’y est pour rien, les Lois sont ainsi faites. C’est la personne qui s’est elle-même forgée cette réalité il y a bien longtemps. Et il y a des événements qui doivent nous arriver, on ne peut rien y faire. Nous sommes là pour apprendre, pour faire des “choix” (quand nous sommes encore ignorants), si l’on se trompe, c’est en apprenant des effets de nos actes que nous sommes censés apprendre. Mais ça peut prendre plus ou moins de temps selon les individus…

    ——-

    Et enfin, je vais aborder le concept de “dimension”. Il a un sens bien précis en physique et en géométrie. Si tu as un plan sur le papier, tu auras deux axes qui sont l’absisse et l’ordonnée (x,y). On dira donc que ton plan est en 2D (2 dimensions). Si tu veux un plan en 3D, tu rajouteras un autre axe pour la profondeur (x,y,z). Et en relativité, comme on s’intéresse au mouvement des objets, on les représente dans plusieurs positions dans un plan en 3D. Et les transitions représentent le temps (t). On peut donc parler de 4 dimensions.

    Si tu tords ton plan, que tu lui rajoutes d’autres axes pour en faire une figures géométrique complexe, hé bien tu rajoutes de fait des dimensions. Cela peut donc être un plan à 5, 6, x dimensions. Mais ce n’est pas parce que tu as modélisé un plan à 22 dimensions que ça correspond à quelque chose dans le réel. Arrive donc la notion d’espace-temps, qui a une structure bien définie. Comme tu le sais, la vitesse de la lumière est une constante, ce qui a permis à Minkowski de modéliser ceci :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Espace_de_Minkowski#/media/Fichier:Cone_de_lumi%C3%A8re2.png

    C’est un espace à 4 dimensions (x,y,z,t).

    Or dans le langage courant ou populaire, quand ça parle de 5è “dimension”, ou qu’on nous explique qu’on vit dans la 3è dimension et qu’on rejoint la 4è, bah ça n’a pas beaucoup de sens. Si je reprends mon analogie avec les 7 bandes de fréquences, nous serions dans la 4è. Impossible de rejoindre la 5è, sauf si tu décèdes. Notre espace de Minkowski peut être vue comme une “bulle” dans cette 4è bande, mais il y en a bcp, bcp d’autres, dans des temporalités différentes. Notre bulle est directement liée à plusieurs autres, dans plusieurs bandes, mais c’est ultra compliqué à aborder ici. Et l’ensemble est l’Univers. Cette conscience n’est pas “D.ieu”, car il en existe bcp d’autres. Disons que l’Univ-God, c’est Brahma dans le védisme. Et Brahman représente la Création, le Zohar.

    Et il y aurait plusieurs Créations… Nos concepts sont vraiment “petits” pour s’imaginer de telles choses, nous aimons enfermer tout ça dans de petits modèles, avec de grands concepts généraux qui englobent un peu tout et n’importe quoi ^^ (hum, ne pas mal le prendre, c’est aussi une auto-critique quand je me base sur de l’ontologie pour construire ma pensée, je vois bien que c’est très imparfait. La déduction a ses limites, il faut juste attendre que la science et les mentalités progressent. Mais au regard de ces Consciences, nous ne sommes juste que des bébés-esprits qui évoluent dans un réel holographique. Pour le dire d’une façon plus poétique, nous sommes dans le rêve de D.ieu. Mais “D.ieu” est un esprit comme toi et moi, il a juste évolué et progressé. Nous sommes tous la création du Zohar, c’est elle donne qui fournit l’énergie à toute chose. Tu peux l’appeler la Source, mais c’est très platonicien, et peut-être qu’il y a autre chose au-dessus. C’est notre but à tous de le découvrir un jour…

    Enfin, par la méditation, tu peux atteindre le “timelessness”, c’est la 6è bande de fréquence. Beaucoup de phénomènes “paranormaux” peut prendre leur source ici, car passé / présent / futur forment un Tout. Mais à moins d’être soi-même un D.ieu, tu n’entres pas en contact avec le Zohar (la “Source”). Mais tu as raison, tu peux le découvrir au fond de toi-même, c’est ce qui est enseigné dans le védisme et le bouddhisme. Il ne faut pas s’imaginer que ça arrive tous les 4 matins non plus… 😉

    ——-

    Bon, ce n’est pas tous les jours que j’aborde ce genre de choses…
    J’espère que ça n’aura pas été trop perché ! héhé…

    Et pour le changement de fréquences de la Terre, je ne sais pas quoi en penser.
    Je ne sais pas. Il faut que je me plonge là-dessus.

    Bon aprèm !

    PS : @faiseuse-de-foret => ce message pourrait t’intéresser…
    Je te répondrai un peu plus tard (il est déjà 15h51) ^^

  • Membre Inconnu

    Membre
    3 octobre 2020 à 19 h 32 min

    @faiseuse-de-foret Tu es plus câlée que moi sur le fonctionnement du cerveau 😉

    Je le vois plus comme un transcepteur/transcodeur. Par ex, je ne pense pas que notre mémoire soit localisée dans notre cerveau. J’avais évoqué certains rêves que nous faisions, et dans lesquels nous avions plein de souvenirs, qui nous échappaient à l’état de veille. Si nous regardons du côté des NDE, dans ce qu’il y a de plus sérieux, nombre de témoignages décrivent des événements, alors que leur cerveau avait un EEG plat (ils étaient cliniquement morts). Certains ont même pu, à leur réveil, décrire ce qu’ils s’étaient passés dans la salle d’opération, répéter les conversations qu’ils avaient entendu, etc.

    Par conséquent, il m’apparaît que le rôle de l’hippocampe serait bien plus d’aller chercher l’info. Dans les maladies d’Alzheimer, c’est bien l’hippocampe qui est atteint par des lésions. Dans notre interprétation des phénomènes, en raison de notre socle mécaniste/matérialiste, peut-être que nous inversons la cause et l’effet. Ensuite, comment circule l’information ? La chimie quantique donne des pistes de réflexion. Par résonance par exemple. C’est comme ça que l’énergie circule. D’ailleurs, d’où vient l’information qui gère et structure notre ADN ? Pour la paléo-nucléosynthèse en cosmologie, c’est indirectement la force de gravité qui crée les premiers éléments du tableau périodique (le premier atome est l’hydrogène). Sans la relativité générale, il n’y a pas de cosmologie… La question n’est donc pas aussi idiote qu’elle n’y paraît…

    Mais je vais être tout à fait honnête, toutes mes questions ne sont pas rhétoriques ou maïeutiques ^^ Là j’ai vaguement des pistes de réflexion, mais ça reste super nébuleux dans mon esprit. Ce sont des choses complexes, dans des domaines que je ne maîtrise pas tant que ça non plus ^_^’

    Ah, pour la gravité quantique à boucles, toi tu as écouté Aurélien Barrau ! 😉

    J’ai beaucoup de réserves…
    Mais ce n’est pas trop l’endroit pour aborder ça.

    Je vais lire les ressources de ton site avec plaisir ! ^^

    Pour le “mental”, ne te prends pas trop le choux avec. C’est un concept super flou. Si ça se réfère à notre activité cérébrale, elle ne s’arrête jamais hein. Eteindre son mental, c’est juste décéder lol
    Le simple fait d’observer quelque chose, notre cerveau capte des photons via nos rétines, qu’il transcode en signaux électriques, puis te retranscrit l’image que tu dois voir. Celle-ci fait écho à ta mémoire, ainsi qu’à la sphère du langage ou des concepts. C’est-à-dire que tu n’as même pas besoin de t’attarder sur un objet, c’est sa représentation conceptuelle qui prendra le dessus. Chose qui sera critiquée par Bergson d’ailleurs.

    On peut contre-balancer ça en s’attardant sur le côté unique et singulier des choses, c’est-à-dire développer notre intuition (au sens de Bergson), mais ça n’enlève rien à l’activité de notre mental. Et c’est la même chose pour les philosophies orientales, ce qui est critiqué c’est notre entendement (au sens de Kant, qui est notre capacité à conceptualiser), car nous ne voyons pas “réellement” les choses, nous nous bornons à leur représentation conceptuelle dans notre esprit. Mais ça ne signifie pas qu’il faut devenir irrationnel pour autant, bien au contraire…

    Et nos émotions sont totalement tributaires de nos schémas de pensée. C’est pour cela que Vijñanamayakosa est au dessus de Manomayakosa. Imagine que je t’endoctrine et que je t’impose une représentation du réel où il y aurait des individus qui seraient dangereux, buveurs de sang, avec des cheveux roux ! Bah si tu te balades dans la rue et que tu vois une personne rousse, tu auras peur ! Mais cette peur découle directement de ton système de pensée. C’est pour cela que je ne capte absolument pas ceux qui veulent absolument opposer la raison et les émotions, la tête et le coeur (dans le langage de Pascal). Si tu es sereine dans ta tête, tu l’es dans ton coeur…

    Le cas échéant, il y a deux méthodes pour trouver une solution. Soit tu travailles sur le coeur, sur tes émotions, sur ton vécu : et ça sera plutôt l’approche de la psychologie. Soit tu travailles sur la tête, sur ta façon de raisonner, de comprendre le monde, pour mieux comprendre tes réactions : et ça sera plutôt l’approche de la philosophie. Mais les deux peuvent très bien se compléter. Elles sont plus ou moins liées…

    Ah ! Pour expliquer les deux levels au-dessus, il faut se plonger dans le védisme. C’est ni plus ni moins ce que certains appellent la “Loi de Un”. C’est-à-dire que la Conscience est Une. Et elle se manifeste à travers nous. La nature de ta conscience est la même que la mienne. Nous sommes UN. Mais tu es TOI et je suis bien MOI. Nous exprimons individuellement une même conscience, mais c’est bien nous… 🙂

    Voilà en gros ce que signifie Brahman (Zohar). Je disais que c’était la 7è couche pour simplifier, mais c’est “au-delà” de l’Univers. Quant à l’Univers, c’est Brahman, la manifestation de Brahma. Qui est une conscience propre. Il est dans la 6è couche, dans le “Timelessness”, là où se trouve le code informatique, si nous étions dans un programme. Et tu peux descendre dans la hiérarchie, avec d’autres cercles de conscience. Dans la 5è couche, se trouve les défunts, les esprits, il y a aussi les noosphères, qui gèrent l’évolution biologique, et tout un tas de trucs compliqués. Ceux qui ont eu la gentillesse de m’enseigner tout ça, m’ont clairement fait comprendre de ne pas m’aventurer là pour le moment. Donc je ne sais pas comment ça fonctionne. Puis il y a nous, qui sommes sur Terre, un peu comme si nous étions dans une cours d’enfants ^^

    Comme d’hab, dans tout ce que je peux écrire, il faut en prendre et en laisser. Mais si ça peut parler ou aider d’une quelconque façon que ce soit, bah c’est toujours ça de pris !

    Allez, bonne soirée ! 😉

  • Membre Inconnu

    Membre
    3 octobre 2020 à 20 h 55 min

    PS : oups ! Coquille !

    Quant à l’Univers, c’est Brahman, la manifestation de Brahma

    C’est l’inverse : Brahma, manifestation de Brahman ^^

  • cinematographe

    Membre
    3 octobre 2020 à 21 h 20 min

    @faiseuse-de-foret désolé si j’ai quelque peu heurté ta sensibilité, je m’en excuse, ce n’était pas intentionnel de ma part, j’exprime mon ressenti tel qu’il m’apparait, sans aucuns détours ni calculs, ce qui implique parfois de faire voler en éclats les filtres préétablis du politiquement correct, ou de l’étiquette en vigueur, prémices aux échanges passablement tièdes, exangues et dépossédés de toute âmes dans leurs propos ?

    Si le simple mot autistique te dérange, c’est qu’il doit t’être familier quelque part ?

    Tempère s’il te plaît tes accès d’humeurs de ton côté également …

  • generatrice_de_vierges_chemins

    Membre
    4 octobre 2020 à 5 h 50 min

    @SeaYou
    Synchronicité : peut-être une ou deux demies-heures avant de t’avoir lu je me suis fait la réflection \\les êtres vivants ne sont que les personnages du rêve que fait dieu´´·

    Question : pourquoi rendre ce mot indétectable en le coupant d’un point ?

    Pour l’hippocampe : je suis intérêssée par ta vision où on inverserait la cause & j’avoue m’être déjà posé la question, mon opinion n’est pas tranchée· Mais dans tous les cas sa fonction n’est bien que d’aller chercher ou y placer puisque la neuroscience nous dit que cette mémoire se localiserait dans le néocortex·

    Comme réponse @ ta remarque je ne sais pas de qui il s’agit & n’ai écouté personne, je lis & réfléchis uniquement·

    Concernant ton exemple pour le mental ce serait justement perceptuel & non mental selon mon système de paradigmes·
    On tient @ cette différenciation pour avoir plus de précision dans l’étude des différents processus ou éléments·

    Pour la loi de l’un je ne suis pas étonnée c’est tout @ fait ainsi que je vois les choses.

    Pour les plans : très intérêssant.

    @cineaste : Exuses acceptées. Oui (je ne m’en cache pas puisque c’est marqué sur mon profil & que j’en parle sur mon blog) c’est blessant qu’un handicap soit utilisé comme insulte ou dénigrement d’autant plus contre une personne qui le porte·

  • Membre Inconnu

    Membre
    4 octobre 2020 à 21 h 34 min

    @faiseuse-de-foret Ouip, nous sommes dans un gros trip ^^

    Ah, pourquoi j’écris D.ieu ?
    Ce sont souvent les Juifs qui le font…

    https://fr.wikipedia.org/wiki/YHWH#Interdit_de_prononciation_dans_le_juda%C3%AFsme

    Argh le néocortex…

    J’ai pourtant appris tout ça durant ma première année de psycho !
    Et je me suis réorienté en philo, en m’empressant de tout oublier ^^

    Puis ensuite, je me suis encore réorienté… ahah

    Wikipédia nous dit qu’il est impliqué dans les fonctions cognitives supérieures comme les perceptions sensorielles, les commandes motrices volontaires, le raisonnement spatial, la conscience ou encore le langage.

    Donc ouip, ça paraît logique qu’il soit impliqué dans les processus de mémorisation. Faudrait voir s’il n’y a pas des patients qui ont eu une atteinte de leur néocortex, histoire de voir ce que ça a donné sur leur mémoire 😀

  • generatrice_de_vierges_chemins

    Membre
    5 octobre 2020 à 1 h 54 min

    en même temps ˣnéocortexˣ c’est vague (je suis frustrée, je n’avais pas prévu de nuage de points pour l’intonation de cette phrase)

    Je n’aime aucune forme de censure. Quand je croise les quatre lettres je vocalise ‾Yeho̱wâh‾·

  • Membre Inconnu

    Membre
    5 octobre 2020 à 16 h 26 min

    @faiseuse-de-foret Oh non, ce n’est pas de la censure…
    C’est juste qu’il manque trop de concepts en français.

    Et puis “Dieu” n’est pas un concept.
    HYH en hébreu renvoie à l’être.

    La définition d’un concept est ni plus ni moins un modèle.
    Il renvoie à un ensemble limité d’objets, aux caractéristiques communes.

    A partir du concept de “crayon”, tu peux reconnaître et définir n’importe quel “crayon”.
    Le truc, c’est que “être” ou “Dieu” est UN. Il n’en existe pas de copies.

    Donc, ça ne peut pas être un concept, par définition.

    C’est ce que j’appelle une “essence”
    (mais pas au sens platonicien, plus au sens de Bergson).

    Et le raisonnement s’applique aussi à nous. Quand on cherche à se connaître, et que nous listons une série de prédicats (petits, grands, français, etc.), nous faisons de nous un concept. Or, il n’existe pas de copies de nous-mêmes, cette démarche n’est pas du tout adéquate pour saisir notre “essence”, notre singularité, notre unicité. Mais bon, notre égo est ainsi fait, il a besoin de se mettre dans des cases…

    On peut donc tenter de définir la forme et la fonction, mais ça ne nous aidera pas à saisir le fond et la nature. Que ça soit pour “Dieu” ou pour nous-mêmes. Maintenant, je distingue “Dieu”, dans le sens de Brahman (l’être ou la Création), et “D.ieu” dans le sens de Brahma. Car, pour que D.ieu existe, il faut qu’il y ait préalablement l’idée d’existence. L’idée de D.ieu est donc logiquement et nécessairement seconde.

    Et c’est souvent ce dernier qui est relaté dans les textes religieux, avec une étymologie qui est intrinsèquement religieuse ou mythologique. “dieu” (français) => “deus” (latin) => “zeus” (grec). D’où l’écriture avec un point, qui est fréquent chez les Juifs, pour les distinguer. En sachant que d’un point de vue fonctionnel, si nous partons du principe qu’il y a plusieurs Univers, et donc plusieurs “dieux”, alors il peut s’agir d’une catégorie, donc un concept plus général.

    En théologie, lorsqu’elle est une branche de l’ontologie, les démonstrations portent sur Dieu (l’être) et non sur D.ieu (l’Univers). Et si nous avons à l’idée notre Univers, c’est bien sûr une “essence”. Mais si nous avons à l’idée le multivers, là ça devient un concept. Donc là, je ne mettrai pas de majuscule (“dieux”). Ouep, c’est très alambiqué ahah

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