@Alfa
La définition du bien et du mal est arbitraire, chaque civilisation et chaque culture a arbitré et arbitre encore en fonction de critères qui lui sont propres. Je disais donc que le bien et le mal ne font pas, contrairement à la réalité et à la fiction, partie d’un référentiel absolut et sont définis en fonction de la cosmogonie et de la cosmologie propre propre à chacune d’elle.
Les exemples cités étaient seulement là pour mettre en lumière cet aspect. Soumettre quelqu’un à la question (l’interroger sous la torture), du temps de l’inquisition c’était bien, sacrifier des milliers de personnes, du temps des Incas c’était bien, se faire sodomiser par son maître du temps des grecques c’était une reconnaissance, etc…