[Membre Inconnu]

@argon

Je peux citer Thomas Kuhn, personne ne va faire l’effort de se renseigner, tout le monde s’en fout ! Pourquoi n’ont-ils jamais entendu parlé de “sophismes” ? …Depuis quand ça marche comment ça ?
lol Donc bah, pour ce qui me concerne, je ne vais pas perdre mon temps
bêtement non plus.

Salut (désolé pour le retard)! oui mais c’est normal! c’est ton rôle de “prof” de donner l’envie aux gens de se renseigner… ou plus pragmatiquement de les renseigner toi même!

C’est là qu’on se rend compte qu’on en peut enseigner des maths, ou de l’histoire à quelqu’un qui a faim… Et que donc tout enseignement ne peut être que global et éducatif, c’est à dire lier ton enseignement aux centres d’intérêts prioritaires d’une personne. ne jamais répondre à une question qui n’a pas été posée.
le problème c’est qu’à notre époque, les problèmes prioritaire à l’enseignement sont foison

recherche de santé mentale, d’emploi, de logement, de centre d’intérets

(PS j’en profite pour solliciter ton avis: je pense que la cause en est à un dérèglement générale de la communication, qui transforme les simples relations en relations aliénantes)

@argon

discuter avec des idéalistes qui ignorent qu’ils sont idéalistes

Mais non on le sait! Je crois même avoir compris ce que cela cela dire: imaginer que les choses sont telles qu’on se les représente, même si on n’a aucun contact avec elles,… c’est pas cela ? (cette définition n’est pas académique)

Comment se fait-il qu’on n’argumente pas ses propos et que l’on se
contente de faire des affirmations ? Si le niveau en face confine au nihilisme et au
relativisme, bon bah je vais juste dire en quoi ça craint, et voir si
oui ou non ça percute avant d’aller plus loin ^^

Plusieurs explications (théorie=ressenti= inductif donc à priori faux)

a) le fait que les gens ont “des choses plus urgentes à faire que d’argumenter”, par exemple à crier leur rage! C:

b) le vif encouragement par la société et la télévision à faire des jugements péremptoires non fondés

c) l’oubli voire l’interdiction des raisonnements dans l’enseignement

Car pour savoir que l’on fait l’expérience de quelque chose, faut déjà savoir que ce quelque chose existe.

oui