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Actif il y a 21 heures
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Description du groupe
Le surdoué, qu’il soit Haut Potentiel Émotionnel (HPE) ou Haut Potentiel Intellectuel (HPI), aime la musique. Souvent. Normal, il bénéficie d’une hypersensibilité 🎵, n’est-ce pas ? 😉
Discutons des disques, concerts, lieux et événements musicaux sympa, autour de nous ou plus loin !
Des textes de chansons que l’on oublie parfois d’écouter au-delà de la musique
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Des textes de chansons que l’on oublie parfois d’écouter au-delà de la musique
Publié par Membre Inconnu le 29 mai 2020 à 10 h 03 minLes chansons, c’est aussi des textes … et parfois on oublie d’écouter les paroles , de s’en imprégner .. il y a des “styles” de musique que je n’aime pas et pourtant leurs textes eux, me touchent, me parlent ..
Alors je propose de poster ici la chanson, sa vidéo mais aussi ses paroles
MadameBagayagaBordel a répondu il y a 10 mois, 2 semaines 8 Membres · 27 Réponses -
27 Réponses
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Membre Inconnu
Membre29 mai 2020 à 10 h 06 minJe commence par Pierre Perret .. je suis fan depuis toute petite .. et il a écrit des chansons qui ne sont pas connues mais qui sont bien autre que “le zizi” ou “les jolies colonies de vacances” .. de vraies poésies 🙂
et les paroles
<div>
Paroles et musique : Pierre Perret – © Editions Adèle 1972
Oh toi ma femme aux paupières de cèdre bleu
Au regard fabuleux des enfants étonnés
Aux grands yeux prophétiques où l’on voit se baigner
Des elfes mystérieuses en paillettes dorées
Tes longs cils font des trilles en fumée de gitane
Tes longs cils sont des rames aux vagues de la mer
Des ponts-levis fermés par ma bouche salée
Tes longs cils font des trilles en fumée de gitaneOh toi ma femme aux paupières de cèdre bleu
Tes baisers ont le suc des tortillas indiennes
Des fleurs d’acacia roses de gâteaux de Noël
De pâte feuilletée fourrée d’orties au miel
Ma femme aux pieds de lune aux empreintes de fleurs
Aux vérités poignards qui déchirent les nues
Ma femme au rire nu aux sanglots retenus
Ma femme aux pieds de lune aux empreintes de fleursOh toi ma femme aux paupières de cèdre bleu
Aux cris d’oiseaux plaintifs dans ton sommeil d’enfant
Aux étreintes jalouses en mâchoires de tigre
Aux étreintes jalouses en pointes de diamant
Au ventre palpitant de caille ensanglantée
A la bouche tendue comme un quartier d’orange
Ma femme aux seins secrets aux lèvres de vendanges
Au ventre palpitant de caille ensanglantéeEt je suis là moi, je suis là sans rien te dire
Retenant les oiseaux dans ma bouche fermée
Et j’étrangle ma muse et j’étouffe ma lyre
Retenant les oiseaux dans ma bouche fermée
Oh toi ma femme aux paupières de cèdre bleu
Aux longs doigts de corail dans mes cheveux de laine
Aux longs doigts qui s’attardent aux bouches des fontaines
Oh toi ma femme aux paupières de cèdre bleu
Je t’aime</div>
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<div>Babylon Circus “De la musique et du bruit”, un peu de nostalgie, de la tolérance, la richesse des cultures…</div>
https://www.youtube.com/watch?v=lWjhiNQgK5k
<div>
On habite dans l’immeuble d’un quartier populaire
Sous les pavés, c’est la plage
Du coin de la rue on voit la mer
y en a qui vienne de tout les coins du monde
Filles et fils d’ouvriers venus chercher l’eldorado
Pas d’avenues pavées d’or
Mais le bitume a eu raison de leur rêve
Et l’amertume leur a rongé un peu la peau
Comment expliquer qu’ici on ne sourit pas
En tout cas pas à quelqu’un qu’on ne connait pas
Ce constat peut paraître un peu pessimiste
Mais ne doit d’aucune façon
Faire de l’ombre au soleil quand il éclaire nos émotionsDans la cour de l’immeuble le dimanche après midi
On s’retrouvait pour papoter, jouer aux cartes entre amis
Du raquis, des loucoumes,des tapas, des jus de fruits,
Des glaces partout, de la musique et du bruitLe temps pouvait s’arrêter
Cela ne nous dérangeait pas le moins du monde
On dévorait insatiablement
Chaque minutes, chaque secondes
Pas une seule miettes ne devait rester au fond des plats
On parlait scolarité en mangeant avec les doigts
laïlaïlaï laïlaïlaï laïlaïlaï laïlaïlaï laïlaïlaï<div id=”sas_32033″></div>
Dans la cour de l’immeuble le dimanche après midi
Autour d’une tasse de thé les grands surveillaient les
petits
Les accents en couleur, les images et la magie
Des gosses partout de la musique et du bruitIllégaux, clandestins, comment dire? sans papiers
A 12 ans ces mots m’étaient totalement étrangers
On a grandit ensemble
Et le sang qui coule dans leurs veines
Ressemble comme deux gouttes d’eau à celui qui coule dans
les miennes
C’est quoi ces cris?C’est quoi ces pleurs?Où vont-ils? Qu’est ce qu’il font?
Pourquoi rester si ils s’en vont?
Plus de pisse, plus de mafé
Plus de jus de fruits,
Plus de partie de foot dans la rue jusqu’à la tombée de la
nuit
Mais maintenant y’a des caméras
Dans la cour plus rien ne bouge
C’est le terrain de jeux des rats
Sans que ce soit de la nostalgie, mais
Qu’est ce qu’on va faire maintenant que tout le monde est
parti ?
Où est ce que vous êtes passé tout l’monde?Dans la cour de l’immeuble le dimanche après midi
Puis lundi plus rien ne se passe le barbecue a moisie
Juste un trace d’y a un temps
Où le quartier était en vie
Et derrière les murs résonnent encore
De la musique et du bruit</div>
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Édit couille dans le pâté encodée de croûte imbitable.
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Y avait une ville -Claude Nougaro
<div jsname=”U8S5sf”>Que se passe-t-il ?
J?y comprends rien
Y avait une ville
Et y a plus rien</div><div jsname=”U8S5sf”>Je m?souviens que j?marchais
Que j?marchais dans une rue
Au milieu d?la cohue
Sous un joyeux soleil de mai
C?était plein de couleurs
De mouvements et de bruits
Une fille m?a souri
Et je m?souviens que j?la suivais?
Je la suivais
Sous le joyeux soleil de Mai
Chemin faisant j?imaginais
Un mot gentil pour l?aborder
Et puis voici
Que dans le ciel bleu de midi
De plus en plus fort j?entendis
Comme arrivant de l?infini
Ce drôle de bruit
Ce drôle de bruit</div><div jsname=”U8S5sf”>Je m?souviens que les gens
S?arrêtèrent de marcher
Et d?un air étonné
Tout le monde a levé le nez
Vers le ciel angélique
Couleur de paradis
D?ou sortait cette musique
Comme accordée sur l?infini?
C?était étrange?
Est-ce qu?il allait neiger des anges
Les gens guettaient dans un mélange
D?inquiétude et d?amusement?
Et brusquement,
Il y eut un éclair aveuglant
Et dans un souffle incandescent
Les murs se mirent à trembler</div><div jsname=”U8S5sf”>Qu?s?est-il-passé ?
J?y comprends rien
Y avait une ville
Et y a plus rien</div><div jsname=”U8S5sf”>Y a plus rien qu?un désert
De gravats de poussière
Qu?un silence à hurler
À la place ou il y avait
Une ville qui battait
Comme un c?ur prodigieux
Une fille dont les yeux
Etaient pleins du soleil de mai
Mon Dieu, mon Dieu
Faites que ce soit
Un mauvais rêve</div><div jsname=”U8S5sf”>Réveillez-moi
Réveillez-moi
Réveillez-moi</div>https://m.youtube.com/watch?v=Z2WXoQVF53M
Frissons garantis dans la ville fantômes des mois passés…
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Membre Inconnu
Membre29 mai 2020 à 14 h 47 minparfois chanson très courte et texte qui se suffit à lui-même
JJ Goldman “Appartenir”
Mon doudou, mon chéri
Mon amour
Mon amant, mon mari
Mon toujours
Des mots si doux
Mais qui m’effraient parfois
Je ne t’appartiens pas
Des mots si chauds
Mais à la fois si froids
Je n’appartiens qu’à moi -
Hello tout le monde,
Cette chanson m’avait touchée quand je l’ai découverte, j’étais assez jeune encore – et suis encore assez jeune, avec un léger différentiel – pour moi elle est simplement profonde et puissante d’efficacité. On est sûrement tous passés par ces sensations, dans des évènements plus ou moins forts ; et elle fait souvent écho en moi dans mes questionnements face aux comportements humains, les incompréhensions, les intolérances, dans des exemples à la con de la vie de tous les jours, et surtout face à moi même.
https://www.youtube.com/watch?v=9wjNvCvqHYs
La rumeur est entrée
La rumeur a parlé
Si tu veux savoir ce qu’elle a dit
Apprends à lire sur les lèvres
Car elle parle de toi
Elle dit n’importe quoi
Il paraît que tu n’es pas celui
Que l’on croyait que tu étaisRefrain:
Et le chien devient loup
Le gramme devient tonne
Le sable devient boue
La poire devient pommeLa rumeur est entrée
La rumeur a parlé
Tu ne sais pas où elle se cache
Mais tu sens sa mauvaise haleine
Elle te bouffe de l’intérieur
Tu portes son odeur
Elle s’est incrustée dans tous tes gestes
Elle est dans toutes tes parolesRefrain
La rumeur est entrée
La rumeur a parlé
Autour de toi rampent les murmures
Tu sais la valeur du silence
Tu tiens ta solitude
Parmi la multitude
Tu ne sais plus vraiment où aller
Tu cherches sans doute un désertRefrain
L’ignorance s’ennuyait
L’ignorance a lâché ses mensonges
Elle t’a jeté un mauvais sort
Tu sais l’affût des démons
Et leur bave vénéneuse
Exilé dans ta coquille
Tu ne veux plus en sortir
Tu frissonnes de violence
Tu as peur de tout casser
Tu es tellement vulnérable
Et maintenant ta conscience
Qui doute qui culpabilise
Et les couples déchirés
Les erreurs judiciaires
Les foules excitées
Les déclarations de guerre. -
C’est une de mes préférées Shanette^^ Très bon choix^^
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Membre Inconnu
Membre30 mai 2020 à 9 h 08 minha zazie !!! <3
J’étais là tu vois,
lui à côté de moi,
on avait 6 ans,
on jouait comme des enfants
au docteur, au docteur
j’étais là je voyais sur son corps
les plais, les marques, les bleus,
j’en croyais pas mes yeux, mes yeux
Et lui qui m’disait j’suis un dur tu vois mes brûlures, là sur mes bras
j’les sens pas, j’les sens pas.
J’étais là j’ais rien dis
et puis j’suis partie de chez lui,
si j’y suis retournée? plus jamais, plus jamais
J’étais là comme lui, j’avais 15 ans à peine
on était dans la cave chez ses parents,je l’aimais tant, faut dire qu’il était beau
mais il se piquait mon héro à l’héro
J’étais là quand sa mère est venue nous dire
c’est fini on l’enterre lundi, lundi
J’ai pleuré bien sûr, j’ai pleuré
puis j’ai recommencé à traîner dehors, dehorsJ’étais là en octobre 80,
après la bombe copernic,
oui j’étais à la manif, avec tout mes copains
J’étais là, c’est vrai qu’on n’y comprenait rien,
mais on trouvait ça bien, ça bien.
Oui j’étais là pour aider pour le SIDA,
les sans papier, j’ai chanté, chanté
Sûr que j’étais là pour faire la fête
et j’ai levé mon verre à ceux qui n’ont plus rienencore un verre, on n’y peut rien
j’étais là devant ma télé à 20H,
j’ai vu le monde s’agiter, s’agiter
j’étais là, je savais tout de la Somalie
du Bangladesh et du Ruanda, j’étais là
J’ai bien vu le sort que le NORD réserve au SUD
bien compris le mépris,
j’étais là pour compter les morts.
J’étais là et je n’ai rien fait
et je n’ai rien fait
j’étais là pourtant j’étais là et je n’ai rien fait
et je n’ai rien fait
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Membre Inconnu
Membre30 mai 2020 à 9 h 18 minse lever chaque matin en se disant ça …
Un matin comme tous les autres
Un nouveau pari
Rechercher un peu de magie
Dans cette inertie moroseClopin clopan sous la pluie
Jouer le rôle de sa vie
Puis un soir le rideau tombe
C’est pareil pour tout l’mondeRester debout mais à quel prix
Sacrifier son instinct et ses envies
Les plus essentiellesMais tout peut changer aujourd’hui
Et le premier jour du reste de ta viePlus confidentiel
Pourquoi vouloir toujours plus beau
Plus loin plus haut
Et vouloir décrocher la lune
Quand on a les étoilesQuand les certitudes s’effondrent
En quelques secondes
Sache que du berceau à la tombe
C’est dur pour tout l’mondeRester debout mais à quel prix
Sacrifier son instinct et ses envies
Les plus confidentiellesMais tout peut changer aujourd’hui
Et le premier jour du reste de ta vieC’est providentiel
Debout peu importe le prix
Suivre son instinct et ses envies
Les plus essentielles
Tu peux exploser aujourd’hui
Et le premier jour du reste de ta vie
Non accidentel
Oui tout peut changer aujourd’hui
Et le premier jour du reste de ta vie
Plus confidentiel
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Une de mes chansons préférées… Son message est poignant je trouve. Ça pue le désespoir, et l’abandon…
Double Shifts – Charlotte Cardin
I said I’d make it, I’m in the making
But I’ve been working double shifts while you’ve been playing
And I wanna say how much I like you
But I’m convinced I convinced myself not to
Been working double shifts, what’ve you been up to?So tell me how
To tell you now<div>
That I wouldn’t mind, wouldn’t mind, wouldn’t mind
If you called me up some time
I wouldn’t mind, wouldn’t mind, wouldn’t mind
You know I’m cute, I’m kind and I’m willing
Call me up and you’ll see what you’re missing
I wouldn’t mind, wouldn’t mind, wouldn’t mind
If you called me up some time[…]
</div>