Mon premier roman

  • Mon premier roman

    Publié par olbius le 24 octobre 2017 à 16 h 08 min

    Je suis sûr que certain(e)s ici écrivent, non ? 🙂 J’espère que vous nous ferez partager vos nouvelles, bafouilles, poèmes et romans !

    Pour ma part, j’ai écrit mon premier roman il y a… hum, au siècle dernier, en fait.
    Comme il miraculeusement survécu, j’ai décidé un jour de le mettre en ligne. Si ça tente certain(e)s, n’hésitez pas à y jeter un œil – et pourquoi pas à me dire ce qui vous a plu / déplu dans ce premier roman 🙂

    Pour le lire c’est par ici (et une fois sur le site cliquer sur “Premier roman” dans la navigation principale, tout en haut du site, ou sur “Mon premier roman” dans le petit texte d’introduction présent sur la page d’accueil) :
    Mon premier roman

    Bonne lecture 🙂

    Membre Inconnu a répondu il y a 5 années, 6 mois 4 Membres · 7 Réponses
  • 7 Réponses
  • Membre Inconnu

    Membre
    9 septembre 2018 à 19 h 07 min

    Olbius : lorsque je clique sur “Mon premier roman”, j’ai un message d’alerte qui s’affiche en me disant que ma navigation n’est pas privée et je ne peux pas voir accès à ton livre…
    J’aurais bien aimé le découvrir…

  • Membre Inconnu

    Membre
    14 septembre 2018 à 11 h 08 min

    Sur la pointe des pieds, les mots silencieux sont venus me parler…

    Le Silence ; l’âme des mots qui pensent ?

    « Le Silence couronne l’absence de mots, en les déshabillant de toute forme de laideur ou de déguisement ; le Silence devient le langage de la pensée des mots auxquels il rend toute leur noblesse. » ?
    Entendez- vous la symphonie de l’Âme des mots qui pensent ?

    Vous arrive-t-il parfois de percevoir, ses notes muettes dont le son absent pourtant vous fouette ? Corde frappée, jetée, pliées ou éthérée ?

    Silence, seriez-vous le pilier des espoirs que l’on cache, des mots que l’on tue par nos pensées qui les mâchent ? Cousu de tuiles ou toit sous bâche ?

    Nous nous sommes entretenus si souvent vous et moi et pourtant, le lent pas de votre voix, surgit d’émoi ; lambeaux de broderie que vous tissez au fil du Soi ?
    Points de suture de nos ratures ou rupture sans point pour coudre les fissures ?

    Peut-être, couronnez- vous les mots, pendus par la conscience pour les libérer du manque de sens ? Les faites-vous valser, hors portée, au lever de rideau par transparence ?
    On vous nomme Roi, on vous peint d’or, certains vous croient mort ; dites-moi mon Ami, êtes-vous accord ou désaccord ?

    Mettez vous en lumière nos pensées, nues et grelottantes, tapies au coin du feu, telles des mendiantes ? Précieuses aveugles errantes ou absorbantes clairvoyantes ?

    Mélodies inaudibles, secrètes, vibrantes, symphonie sans gammes, en si pesantes en ré veilleuse ; des dos de mots jetés du lit, mal réveillés, somnambules ou endormis ?

    Vous nous suspendez au temps, le Vent ne ment ; caresses apaisantes, parfois blessantes d’attentes criantes bercées par votre étreinte.

    Seriez- vous un bouquet de pleurs que vous offrez à nos pensées meurtries de peur ? Une offrande de présence par l’absence ou bien un parfum aux arômes de sens ?

    Magicien ? Sorcier ? Sortilège ou sacrilège ? Les pensées tombées du nid, les ailez-vous de nos oublis ?, Valsaient-elles dans l’air ou cendraient-elles sous taire ?

    Essayez- vous de nous faire entendre le son de votre lumière en nous aveuglant de mots non dits, que vous ramenez à la vie d’un souffle par buée sans bruit ?

    Abolissez- vous nos émotions de l’esclavage des mots ? Les rendez vous libres en brisant les pensées qui les enchaînent d’interprétations ou d’illusions ?

    Peut-être n’êtes-vous rien de tout cela ; peut-être bien êtes-vous solitaire, votre présence m’apparaît, dans le noir, telle un ruban blanc que vous dénouez pour me plaire.

    Je vous avoue que mon ignorance aurait pu être réduite au silence ; mais j’y pense… plongée dans votre magnificence…sans questions ni réponses… ce ne sont que des pensées, sans lacets, ni souliers dont j’entends les notes s’élever d’un piano sans clavier.

  • Membre Inconnu

    Membre
    16 septembre 2018 à 14 h 27 min

    Aile était une Foi,

    Devant l’enceinte de murs de pierre ; à aube naissante déposée ;
    Erreur cachée, un sans faute d’Être mal née,
    Pêché de corps ; graine égarée semée sous torts.

    Aux sœurs de Dieu, elle fût confiée,
    Ornée de blanc, sans premier cri, le « notre Père » l’a recueillie.
    Par larmes d’eau sur front béni, on la signa d’une croix de Vie.

    Jardin des baies, buissons ni haies ; fleurs de jasmin, pétales de lys couleur bleuet
    Arrachée bouture, tige blanc souillure, en serre sainte, Mère l’a étreinte ;
    En terre des cieux, s’élève l’encens, cierges ou lumière, il pleut prière.
    Née sans épines,crée bouture, de blanc teintée, d’Âmour taillée,
    Un pleur, larme pour cri ; que coulent ses Eaux et la soufflent de Vie

    Au nom du Père et du Saint Esprit, pas de berceau, mais un grand lit,
    Nourrie aux saints, veillée la nuit par Sœur Marie,
    Dans son biberon, du lait d’hostie,
    Ses premiers pas ; les jambes elle plie,
    Ses premiers mots, le notre Père, par cœur appris,
    En terre de Dieu, en autarcie, seule, elle grandit.

    Géants remparts, mémoire d’enfance, puits d’innocence sans insouciance.
    Le temps compté, les heures priées ; lignes mâchées, mots avalés
    Cours sans récrée, cailloux pour jouer, craie pour marelle ; des rêves sans ailes.
    Les coups trop durs, sur ses petits doigts ; la gomme de bois pour les ratures,
    Mère supérieure, grise précieuse ; la teinte de bleu, son Âme est pieuse.

    Les cloches sonnent, vers la chapelle, Père nous appelle,
    Mère arrive, Sœur nous range ; je nous plie, prions les anges.
    Rangs de têtes aux poils trop courts, aux robes grises, boutons azur,
    Le chant s’élève, les chœurs s’envolent ; Père entend ses rossignols.

    Pour le pardon, pas de clémence,
    Les mains unies, genoux au sol,
    La tête baissée, buste incliné, dos dénudé, le regard voilé,
    Dans la chapelle, péchés- offenses pour seule défense,
    Mère la punit. Ni pleurs, ni cris ; Silence, elle prie.
    Armée de bois, épée de Foi, sculptée en croix, Père l’entend pas.

    Père du là-haut ; perdue sur Terre
    Être ici-bas ; Mère Univers
    Une croix sans bois, un ciel sans toit
    L’Esprit en l’air, les pieds sur vert
    Aile est émoi.

  • Membre Inconnu

    Membre
    28 septembre 2018 à 14 h 21 min

    En hommage aux torrents des Eaux de Vie que j’ai versées pour m’apprendre à nager et à survivre sous la surface de leurs océans.

    Les larmes de fond, ne s’écoulent que par don,
    N’emportent rien sur leur passage, à l’Âmour, elles offrent hommage,
    Sculpture transparente de nos naufrages, perles de nos rivages,
    La douceur sous ses gouttes, nous caresse sans mirages.

    Les larmes de fond, vagues d’âme de nos pardons,
    Nous coulent de source, nous ramènent sous surface,
    Nous plongent à la face, ne noient ni n’effacent,
    Enfouies sous salées, creusées d’émoi par souffrance qui passe,

    Mes larmes de fond, ruisseau de mes tréfonds,
    Je me coule, je me bois ; je me verse, je me reçois,
    Du moi en gouttes, mon eau de vie,
    Mes yeux égouttent ce que ma peine lit,

    Sans tempête, ni détruit,
    Les larmes de fond, eau de l’âme, sous ciel gris,
    La pluie du cœur qui tombe sans bruit,
    Une eau de source, sortie de son lit.

    Les larmes de fond, inondent nos berges ; purifient nos rives,
    Torrents sous roche, cristaux de cierges chutent et dérivent,
    Fleurs minérales, pétales séchées de pluie perlée
    Etoiles mourantes, vivantes, filantes ou bien errantes ?

    Les larmes de fond, lac minéral des Ô plateaux,
    Coulée d’étoiles ; le ciel se voile…le Cœur boit l’eau ;
    Douces salées, encrées sous flots,
    Dansent et nagent sous leurs sanglots.

  • Membre Inconnu

    Membre
    28 septembre 2018 à 17 h 09 min

    Ben comment les faire partager justement ?
    On ne va pas copier/coller 15 pages de nouvelle ou 286 pages de roman…

    Je recherche par ailleurs des personnes qui pourraient me relater avec précision un (ou plusieurs) de leurs rêves. Rêves marquants de tous types avec, si possible, une chute…

    Il s’agit d’un projet précis. Je peux envoyer un dossier de presse, une note d’intention et un exemple par mail (pour ceux que cela intéresse). s.

  • Membre Inconnu

    Membre
    28 septembre 2018 à 17 h 23 min

    Bonjour,
    Votre sujet de recherche m’interesse @jabberwocky, j’aimerais pouvoir lire le dossier de presse dont vous parlez et contribuer au “don” des rêves avec chute de préférence ;o) si cela est possible ?
    Merci

  • Membre Inconnu

    Membre
    28 septembre 2018 à 19 h 20 min

    Il suffisait de demander… 🙂

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