Interrogations sur le LGBT

  • geapix

    Membre
    9 juillet 2022 à 19 h 26 min

    Le problème des injections c’est qu’elles sont insidieuses, de l’ordre de l’inconscient. C’est rarement facile de s’en défaire. Pas tout le monde n’a la chance comme toi de s’en défaire facilement. Il y a des milieux socio-professionnel plus difficiles que d’autre dans ce domaine.

    Là où je te rejoins, c’est qu’effectivement on a la chance d’être libre de mener la vie que l’on souhaite au niveau de l’expression de genre. Même si ce n’est vraiment pas évident pour tout le monde.

    Il y a tout de même du travail encore à faire pour réduire la pression sociétale et changer les mentalités.

  • gueko

    Membre
    9 juillet 2022 à 19 h 37 min

    après c’est sur que c’est pas toujours simple. ça demande beaucoup de travail sur soi. Perso, j’ai choisi de voir une psy pour évoluer, vu que mon milieu n’était pas favorable. Et cette aide là, la majorité des gens peuvent y avoir accès.Cependant, il faut se poser la question de “pourquoi les choses se répètent?”. Perso, c’est quand j’ai compris que c’était moi le dénominateur commun a toutes les relations de merde que j’ai vécu que j’ai pu me remettre en question et changer ma perception de moi même et donc celle des autres. Mais bon, chacun avance comme il peut, au rythme où il peut

  • geapix

    Membre
    9 juillet 2022 à 20 h 01 min

    Il faut diffuser l’idée : qu’importe ton sexe tu peux être qui tu veux, être aimé pour ce que tu es. Ça sera plus facile pour les gens d’aujourd’hui et les générations futures de trouver leur voie et leur épanouissement. L’éducation et la sensibilisation sont primordiales pour améliorer les choses.

    Je suis heureuse pour toi que tu es trouvée des réponses et des solutions à tes problèmes personnels. Je ne pense pas que les problèmes ne venaient entièrement de toi, mais c’est sûr que la vie est tellement plus sympa quand on s’aime comme on est.

  • generatrice_de_vierges_chemins

    Membre
    10 juillet 2022 à 8 h 42 min

    ‟Personnellement, je ne crois pas qu’il y ait d’injonctions liées au genre. Il y en a eu, oui. Mais aujourd’hui, je ne crois plus que ce soit vrai.”
    Ça dépend des groupes sociaux. Je peux vous garantir qu’au collège il y en a masse des injonctions· Ailleurs elles peuvent être moins fortes mais totalement absentes ça me paraît difficile·

    ‟je me définis par moi même et non parce qu’on attend de moi”
    Oui mais il faut prendre en compte le stade intermédiaire qui est s’inspirer de ce qui nous plaît chez les autres donc ce n’est pas binaire ici· & parfois les frontières sont floues entre s’inspirer & subir une injonction surtout si on n’a pas d’autre cadre de référence que la norme·
    Malheureusement beaucoup de filles n’ont pas d’autre choix que de rechercher la reconnaîssance de leur groupe pour se sentir bien·

  • gueko

    Membre
    21 juillet 2022 à 16 h 29 min

    ce qui me gène dans ce discours, c’est beaucoup de garçons n’ont pas le choix non plus. Je crois que c’est très limitant de penser que cela ne concerne que les filles.

    Idem pour le collège. Les injonctions ne sont pas liées qu’au genre, elle le sont sur la musique que tu écoutes, ton niveau de vie, tes relations familiales, etc, etc…

  • generatrice_de_vierges_chemins

    Membre
    22 juillet 2022 à 8 h 03 min

    §1 Je suis d’accord·
    §2 Certes mais il n’empêche que certaines de ces injonctions soient liées au genre·˙

  • maeya

    Membre
    21 août 2022 à 21 h 21 min

    En fait pour répondre à ta toute première question “pourquoi la création de ce groupe” etc, et bien c’est par exemple pour ne pas avoir des conversations comme celle que je viens de lire. Pour être sûr.e.s de discuter avec des personnes qui ne nous demanderont pas de justification, qui ne viendront pas chercher la petite bête pour essayer de décrédibiliser une démarche. Tu peux ne pas comprendre cette démarche, mais tu peux aussi laisser la communauté en dehors de tes interrogations. C’est comme venir sur ce site et dire “pourquoi la création de ce site de surdoués?” ben pour échanger entre nous parce que quelque chose nous rassemble, tout simplement. C’est pareil avec ce groupe LGBT+.

  • gueko

    Membre
    21 août 2022 à 21 h 39 min

    Alors je ne cherche pas a discréditer quoi que ce soit. Je n’impose à personne de répondre à mes questionnements, mais le fait est que j’ai le droit d’avoir des questionnements, quelque soit le sujet.

    Si qqun me demandait “pourquoi rencontre surdoués?”, je serais capable de lui apporter une réponse, sans me sentir menacé par je sais pas quoi. Après, encore une fois, je n’impose rien à personne

  • Membre Inconnu

    Membre
    22 août 2022 à 8 h 15 min

    Personnellement je comprends la démarche du groupe, car si je m’y suis inscrite, c’est que j’y trouvais un intérêt (étant moi-même un peu hors-norme). Sans parler du groupe en lui-même mais du mouvement LGBT+, ce qui était à la base un rassemblement de minorités afin que chacun se sentent moins seul et soutenu par une communauté, divise de plus en plus aujourd’hui.

    Là où je comprends les interrogations soulevées ici, c’est qu’en effet, à force de mettre des +++ on a fait l’inverse et on a commencé à étiqueter chacun avec des définitions de plus en plus précise et je trouve que ça va trop loin car on ne ressemble plus, on divise en sous-catégories.

    Evidement, il faut bien définir les choses, afin de pouvoir les reconnaître, si l’on veut se comprendre (une chaise est une chaise), ça marche pour l’être humain, ou sa valorisation (en effet, une femme féminine aura plus tendance à se maquiller, etc) mais c’est aussi qu’il ne faut pas tout confondre. Une femme peut se sentir parfaitement femme sans être féminine. J’ai exercé de nombreux métiers, donc certains très “masculins” et pourtant, on ne s’est jamais posé la question si je n’étais pas une femme parce que je portais un bleu de travail et des sécu.

    Alors après évidement, le fait d’en parler dans toutes les séries TV, les ados se questionnent beaucoup, mais c’est aussi un âge où l’on se questionne sur tout et où l’on a envie de mettre en avant sa différence. Je pense qu’il faut juste bien les accompagner afin qu’ils soient sur de bonnes bases, bien dans leur tête et bien dans leur peau et qu’après cette période très complexe qu’est l’adolescence, ils verront d’eux-mêmes si c’était un simple questionnement et non une orientation. Tant qu’on est là pour répondre à leur questions sans jugement, ils trouvent leur propre voie.

    Personnellement ça ne me dérange pas qu’on m’interroge sur ma sexualité, j’ai souvent droit au : “comment tu as su, tu l’as toujours su, etc”. Et si je suis dans ce groupe c’est à la fois parce que j’en fait naturellement partie et à la fois parce que ça ne me dérange pas de parler de ce que je suis.

  • matty

    Membre
    15 juin 2023 à 19 h 48 min

    La “dysphorie de genre” reconnue comme une affection longue durée (ALD) par les caisses d’assurance maladie.

    En 2020, environ 3 300 personnes se sont vu reconnaître par l’assurance
    maladie une affection longue durée (ALD) de “dysphorie de genre”…

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/soignants-diplome-transgenrisme

    Mouais, une ALD, je ne m’attendais pas à ça j’avoue. Mais qu’à moitié surpris.

Page 2 sur 2

Connectez-vous pour répondre.