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Enfant zèbre
Pour parler de l’enfant zèbre, enfant intellectuellement précoce (EIP), surdoué, ... Voir la suite
Le zèbre à l’école, besoin d’un enseignement spécifique ?
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Le zèbre à l’école, besoin d’un enseignement spécifique ?
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Tu ne devrais pas parce qu’à la base, je m’étais mis sur mon PC pour m’occuper des premiers éléments d’un futur procès contre mon ex-conjointe au sujet de notre fille. C’était un peu plus important que de prendre le temps de poster des banalités sur un site dédié aux surdoués (désolé, c’est pas très respectueux et délicat mais, parfois, j’ai pas envie d’être ça). Je suis juste un con 🙂 De mon côté, j’admire parfois la faculté que tu as pour juste ne pas entrer dans l’affaire (j’allais dire lâcher l’affaire mais ça n’était pas assez précis). Mais je n’oublie pas les quelques petites choses que je peux te reprocher et que tu connais déjà, tout comme je connais celles que tu peux me reprocher. C’est dur la vie!
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Alors je te réponds. Au fond être surdoué m’en touche une sans réveiller l’autre mais j’essaierai de passer le test malgré tout à l’occasion. Soit dit au passage je faisais un concours de cervelle 🙂
La schizophrénie je peux t’en parler en long en large et en travers. Je connais bien le sujet et je partage ce que je sais. Cela vient effectivement d’un manque de connexion au niveau des neurones qui ne se fait pas correctement mais à SACLAY ils ont un tout nouveau scanner pour observer le cerveau unique au monde. Dans les cas d’Alzheimer et de schizophrénie. J’en attends rien avant 10 ans mais le traitement que je suis pour me stabiliser est assez contraignant malgré les progrès faits. Des tas d’effets secondaires comme baisse de la vue, perte de libido, crispations involontaires, etc… En plus d’être sédaté. Ainsi même si les progrès n’arrivent que dans 10 ans, ça me satisfera 🙂
Donc ce manque de connexion des neurones qui est un processus électro-chimique atténué par le ttt empêche d’être surdoué a priori. Je dis a priori car je carbure quand même à 2 000 à l’heure de la cafetière. Autre truc impossible d’après les docteurs : 2 schizophrènes dans une même famille. Ma sœur l’était aussi; elle s’est suicidée en 2003 (et elle n’était pas conne non plus). Donc la science ou la nature peuvent faire des erreurs aussi. Je n’ai plus de crise de parano depuis près de 10 ans. Psychothérapie, médicaments qui ont progressé. Et je suis réellement stabilisé depuis 4 ans. Et depuis 4 ans je m’exprime réellement dans mes aptitudes même si cela demande une certaine discipline et un suivi qui m’est accordé par mon entreprise qui accepte que je sois en télétravail depuis qu’ils m’ont embauché il y a 7 ans ( j’ai besoin de ma bulle ). A mon avis pour qu’ils m’accordent ces avantages, c’est que je dois avoir un profil intéressant : tendance parano dans la cybersécurité, ça aide 😉
Voilà. Je passe le plus clair de mon temps à chercher des failles et à les boucher sauf en cas de coup de bourre ( attaque de l’entreprise ou grosse alerte de sécu genre log4shell pour ceux qui connaissent ). Cela demande un gros travail de veille et de recherches, mais ça me plaît.
Donc le système éducatif français et les zèbres, accompagnement ou pas ?
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J’oubliais : le niveau attendu ne m’a pas été communiqué mais je devais être au dessus car l’officier recruteur a bouffé ses galons de dépit car étant shizo j’étais déclaré inapte pour prendre les armes 🙂
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Merci beaucoup pour tout ça. Je pense vraiment que ta prise de parole sur ton trouble est un partage extrêmement précieux. J’espère qu’on aura l’occasion d’en reparler et que d’autres s’y mêleront.
Pour le reste, test de QI ou pas, schizophrénie ou pas, tu peux simplement être hyper doué dans certains domaines et démontrer le travail que tu fais sur toi. Pour moi, c’est largement suffisant pour trouver des personnes tout à fait remarquables. Tous ces sujets sur le QI, même si j’aime lire là-dessus et participer, commence à me les broyer assez sévèrement.
En temps normal je t’aurais sans doute déjà répondu sur l’accompagnement (la réponse aurait probablement été négative (mais pas que, je vais rarement uniquement dans un seul sens) mais en réalité je n’en sais rien étant donné que les choses s’éclaircissent en général au moment où je rédige mes posts. Bref, je ne te garantie pas de te répondre mais si je le peux, je le ferai.
Passe une bonne soirée.
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Message supprimé…
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<font color=”#9c0621″>@marsupio </font>Au-delà de l’accomplissement personnel, un HPI peut apporter tant à la société une fois intégré. Il s’agit d’un tel gâchis de matière grise qui pourrait être employée au bien commun que cela en devient scandaleux.
Tu as sûrement raison.
Les HQI nés dans des classes sociales favorisées réussissent généralement très bien à l’école: ils cumulent l’avantage de l’environnement avec de hautes capacités intellectuelles.
A mon sens c’est plutôt les HQI nés dans des familles incultes qui ne parviennent pas à se hisser à des postes influents.
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bonjour @marsupio en me basant sur ma propre scolarité, je crois que l’enfant surdoué a besoin de plus de précision que l’enfant normal, sino son imagination s’égare.
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Les HQI nés dans des classes sociales favorisées réussissent généralement très bien à l’école: ils cumulent l’avantage de l’environnement avec de hautes capacités intellectuelles.
A mon sens c’est plutôt les HQI nés dans des familles incultes qui ne parviennent pas à se hisser à des postes influents.
Mhouai, je trouve ça un peu court comme enchainement logique. Qu’advient-il des enfants des classes favorisés qui se cognent une famille dysfonctionnelle (et elles sont nombreuses) ? Qu’arrive-t’il aux enfants de classe modeste qui ne sont pas “castrés” et qui peuvent librement avancer (et elles sont nombreuses). Et, d’une manière générale, qu’arrive-t’il au petits surdoués qui n’ont pas des parents surdoués ? etc, etc…
Mais au-delà de ça, est-ce qu’un surdoué ambitionne de se hisser à un poste influent. Ça ne serait pas un banal fantasme de la normosphère. C’est un peu comme vouloir mettre notre “intelligence” au service du bien commun. Tout ça est mignon de bienpensance mais c’est très “normalisant” comme raisonnement, à savoir totalement hors réalité et hors du champ de compétence qu’il leur faudrait maitriser pour savoir quoi faire de nous, à part nous sur-normaliser.
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Le bien commun peut se matérialiser dans toutes les disciplines. Un nouveau Mozart, un nouvel Einstein, un nouveau de Vinci, peuvent donner un nouvel élan, un nouveau courant de pensée en les laissant s’exprimer et en leur donnant les moyens de réussir dans le(s) domaine(s) qui leur plaira(ont). Passer à côté parce qu’on ne sait pas s’y prendre avec eux, c’est du gâchis. Le domaine des sciences et nouvelles technologies est vaste. Il reste tant à découvrir. Les neurosciences sont toutes neuves. Personnellement, je rêve d’une percé dans ce champ pour expliquer une maladie neurodégénérative comme la maladie de Charcot ou d’Alzheimer afin de pouvoir enfin les traiter.
Maintenant, avec les progrès de la mondialisation et de la science, on meurt plus du cancer que de maladies infantiles. J’ai lu dans lesechos.fr qu’un nouveau traitement pour le cancer du poumon était sorti. L’oncologie est aussi un domaine où le potentiel d’un zèbre pourrait s’exprimer sans fatalement chercher le prix Nobel à tout prix.
Les nouvelles technologies, là où je me situe (enfin) actuellement, m’ont permis de contribuer à une intelligence artificielle sans biais, mais demandant les ressources d’une grappe de supercalculateurs. Avec cette IA, et la base de formules scientifiques dont disposent l’humanité, nous sommes tombés sur une exponentielle de recherche de nouvelles formules, nouveaux matériaux, par millions. Lorsque nous avons présenté le résultat de ce calcul qui a demandé 2 heures à une grappe de 16 supercalculateurs Sequana à Google, ils sont devenus tout fou. Google a alors entrepris de tout classer, coder et partager avec les universités du monde entier. Il s’agit très certainement d’un pas de géant dans le domaine des sciences. Les plus grandes universités du monde entier s’y réfèrent et vérifient ce que l’IA a trouvé. Des centaines de chercheurs à travers le monde m’ont remercié car ils ont trouvé leur solution dans l’immense base de formules découvertes.
Les nouvelles technologies ont toujours été ma passion. Mais je me trouvais trop bête pour m’y lancer. Les écoles étaient rares et l’informatique sous cotée. J’ai donc poursuivi des études qui ne m’intéressaient que très peu. Jusqu’à ce que je suive une formation professionnelle dans le domaine qui m’a mis le pied à l’étrier. Depuis je n’ai plus lâché. Et voilà le travail.
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