Être parent d'un enfant précoce

  • Être parent d'un enfant précoce

    Publié par olbius le 7 janvier 2019 à 11 h 11 min

    Être parent d’un enfant précoce (ou de plusieurs enfants précoces, a fortiori), tu sais c’est pas si facile… (bon personnellement je n’en sais rien, je n’ai malheureusement pas d’enfant 🙂 ).

    Aujourd’hui, les médias informent et abordent la question des enfants dits «atypiques», ainsi les dyslexies, dysorthographies, dyspraxies, tda/h, hauts potentiels… sont des termes de plus en plus connus par le grand public. Et les parents dans tout ça ? Comment se débrouillent-ils pour accompagner leurs enfants vers la réussite ?

    Source : On parle beaucoup des enfants atypiques, mais qu’en est-il de leurs parents ?

    olbius a répondu il y a 5 années, 3 mois 2 Membres · 2 Réponses
  • 2 Réponses
  • bugmannxxl

    Membre
    10 janvier 2019 à 8 h 34 min

    De toute évidence, plutôt difficilement et pas uniquement à l’égard de la relation avec l’enfant mais aussi par rapport au positionnement du parent dans le contexte actuel.

    D’importantes découvertes ayant été réalisées dans des domaines aussi variés que les HP, TDAH, … ces dénominations font l’objet d’un intérêt grandissant du public qui se polarise parfois radicalement.

    Certains enseignants, membres de la famille ou amis considèrent qu’il s’agit de chimères et non seulement ne vont pas aider l’enfant mais peuvent parfois s’évertuer à démontrer le contraire. Non sans raisons, ces sentiments ambivalents sont parfois exacerbés par certains parents qui s’acharnent à vouloir dans l’échec scolaire de leur progéniture d’autres causes que celles réellement existantes (capacités intrinsèques, éducation, soutien, …).

    Spécifiquement concernant les HP, je ne crie pas sous tous les toîts le fait que ma cadette le soit car cela suscite souvent une forme de méfiance voir même de jalousie alors que j’ai tant pleuré lorsque j’ai reçu la confirmantion qu’elle l’était.

    Quant à la relation avec l’enfant, j’imagine qu’elle s’avère plus facile si l’un des deux parents si ce n’est les deux partagent les mêmes caractéristiques “atypiques”.

  • olbius

    Organisateur
    15 janvier 2019 à 17 h 12 min

    La vie de parent n’est pas un long fleuve tranquille et la difficulté est accrue avec des enfants atypiques. J’en ai deux. Un (13 ans) ayant un TDAH (trouble de l’attention avec hyperactivité) et le second (7 ans) qui est HPI (à haut potentiel intellectuel).

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