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Art & artisanat 👩🎨 ! Partagez vos belles découvertes artistiques et artisanales entre zèbres, que vous soyez Haut Potentiel Émotionnel (HPE) ou Haut Potentiel Intellectuel (HPI). Nos artistes et artisans surdoués ont du talent. Et si vous êtes vous même artistiquement ou artisanalement talentueux, n’hésitez pas à faire découvrir vos créations !
Essais et prestations artistiques en tout genre autre que le chant… peinture
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Essais et prestations artistiques en tout genre autre que le chant… peinture
hautpotentieldeconneries a répondu il y a 8 mois, 1 semaine 52 Membres · 552 Réponses
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Membre Inconnu
Membre5 mars 2020 à 20 h 42 minJe viens tirer ton sujet des décombres^^, en vous partageant deux de mes derniers petits essais artistiques^^
Je commence à peine le portrait (et de profil particulièrement), donc indulgenceeee please ^^ (et suis bien évidemment preneuse de toute critique constructive :))
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en fait tu voulais peut-être dire avec ton 2ème dessin que tu voulais rentrer chez toi?
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Membre Inconnu
Membre5 mars 2020 à 22 h 17 min@itsme @zelos
^^
Bien vu, c’est volontaire, en fait c’est surtout pour masquer mon manque de technique et les imperfections qui (me) crèvent les yeux que j’accentue autant sur la dichotomie noir/blanc.
D’où le 2eme coup de crayon général en biais sur toute la feuille, pour flouter aussi ^^
Quand je maitriserai mieux la technique je nuancerai plus sur les tons ^^
Mais j’aime beaucoup le crayon papier, plus que les couleurs pour l’instant ^^
Zelos ralala , ben tout ça raconte une histoire ^^
Analysons toutes ces réminiscences et ce à quoi elles font appel =))
J’rigole j’arrête de te taquiner 🤣 itsme a bien commencé le boulot en plus ^^
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Membre Inconnu
Membre6 mars 2020 à 1 h 03 minJ’ai commis ça ce soir :
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Lune irisée,
teinte nuages laiteux,
dodelinant,
cache cachant astres masqués.
Le sommeil a fuit et les pensées fusent…
Les mots, toujours les mots,
addition hémorragique.
Il semblerait que l’ennui soit,
la lecture sonne creux.
Les yeux levés dans les synapses,
et le vide comme écho.
Où se cache le maître des images. L’orfèvre des mots, le ciseleur de la mètrie.
Le gardien du vocable haut.
Le distortionneur de la s’aime antique.
Éminent dialectiqueur?
Il avait écrit les étoiles. Puis il est parti avec.
Le ciel est vide.
Mes yeux se perdent dans l’infini.
Mon regard ne sait plus où se poser.
Alice tombe elle dans un terrier,moi je monte dans l’espace.
Le froid est terrible le silence est la meilleure partition d’angoisse.
Vides les synapses.
J’appelle, pas d’écho.
Il n’y a plus de cochlée au bout du fil rouge.
Et le jour peut bien se lever, l’aurore poindre, le ciel se luminer. Je ne dormirai pas.
Le temps coulait si bien dans le sablier, maintenant je suis entraînée avec le sable et je bouche la symphise.
Oh dieu Pan, père de mes époux, fait revenir mon Ulysse, je suis fannée de détapisser mes nuits.
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Je te regarde. Je me rend compte que je ne t’avais pas vu.
Je t’ai laissé rentrer dans mon existence,je t’ai donné de ma place.
Et tu m’as envahis. Tu m’a piétiné et je t’ai présenté mon cou, j’ai ouvert les bras pour que tu me saccage. L’amour pour moi a toujours été d’une violence inouïe.
J’ignorais que ce n’était pas de l’amour. Que c’était de la haine. Mon cœur était bloqué devant un miroir, un négatif de sens.
Maintenant je t’ai chassé, mais tu continues de me faire du mal de la façon la plus ignoble.
Au lieu de me détruire à petit feu, tu veux m’annihiler au plus vite.
Et moi même si j’ai forci, même si ma position a changé. Pour ne plus recommencer à être une victime en quête d’un nouveau bourreau. Je dois payer cette vieille dette. Jusqu’à la fin de mon existence.
Toi ma pire erreur je vais t’avoir sur le dos. Comme ces grains de beauté qui sont vilains et pour lesquel nous nourrisons de l’angoisse.
Tu viens renifler mon bonheur et mon renouveau te terrant dans l’ombre et tu me rend coup pour coup car ma joie te terrasse. Tu me rend coup pour coup l’offense de ma vie ,ma renaissance sans toi. Et tu viens me frotter le sourire à même le visage avec l’amoniaque machiavélique de ton esprit de guerre.
Tu sais, ça n’a aucun sens ce que tu fais. Aucun. Au delà des offenses que tu me réserves. Le pire pour moi c’est le vide de sens que cela implique.
Je ne plierai pas.
Tu vas juste me fatiguer le coeur et les nerfs ponctuellement. Mais cela ne changera en rien le processus qui est engagé.
J’ai réparé les blessures que la vie m’a faites et que j’ai permis à la vie de me faire aussi. J’ai corrigé la position. Et maintenant je regarde vers le haut. Vers l’avenir. Avec plaisir.
Je n’ai plus peur de moi.
Je n’ai plus envie que l’on me change.
C’est fini tout ça.
J’aime ce que je suis. Et je veux fendre l’air avec mon corps comme carrosse à mon esprit.
Il est temps que tu déposes les armes. Et que tu cesses de venir m’observer et me chercher querelle.
Je te souhaite de te reconstruire. Et d’offrir à l’amour propre la part belle.
Ce que tu projettes sur moi c’est des choses qui ne m’apartiennent pas. Je t’ai plu car j’ai rendu possible la prise en charge de tes mal être. Je les ais fait miens.
Mais c’est finis. Je les déposes. Je ne suis pas la mule de tes névroses.
Reprends-les et portes-les, toi. Soignes-les.
Tu respires à moitié. Crois-moi. Libéré de ces lestages la respiration est un vrai délice.
Nous pourrions tout les deux ,l’un face à l’autre avoir un souffle libéré. Et créer une petite zone de lumière dans le monde où l’intelligence et le respect est de mise.
Et au delà de ces grands principes. Tu pourrais me décharger moi ,d’une épée qui s’enfonce jour après jour dans le creux de mon cou. Tu sais déjà que j’en ai une autre. Et que celle ci ne m’offre aucun espoir de rémission.
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