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  • Membre Inconnu

    Membre
    4 mars 2019 à 22 h 44 min

    @rickla
    Il y a quand même un cas de figure où je suis très prudente: lorsque l’amour en question est déjà marié(e).
    “T’inquiètes pas chéri(e) je vais divorcer”. Ouais…un jour, peut-être.
    Là, la situation peut être pénible, voire très pénible.
    Perso, les hommes mariés, je les laisse tranquilles, parce que typiquement, ce sont des amours non viables, voués à l’échec.

  • jasper

    Membre
    4 mars 2019 à 23 h 18 min

    @filledelair je crois que @rickla ne parlait pas de ressentir de l’amour, ce qui échappe à toute raison, mais plutôt de vivre son amour.

    Et ça, ça n’échappe pas toujours à la raison.

    (toute petite disgression : Bon d’accord il y a eu Romeo et Juliette, Paul et Virginie, Eloise et Abelard. Mais aussi … argh je ne trouve que le Prince Charles et sa Camilla qui ont écouté leur raison jusqu’à ce que le pont de l’Alma vienne s’en mêler. Mais je suis sûr qu’il y a plein d’autres exemples cachés dans le secret des coeurs. )

  • rickla

    Membre
    4 mars 2019 à 23 h 23 min

    @jasper Tout à fait.

  • jasper

    Membre
    4 mars 2019 à 23 h 51 min

    Mais dis moi @rickla, est ce qu’il faut arrêter d’aimer quelqu’un chez qui on découvre une maladie incurable ? non ! Au contraire, on vit encore plus intensément ensemble, on profite de chaque instant de ce temps dont on ne connait pas l’échéance, en essayant de lui embellir la vie, pour qu’il sente comme il est aimé, et parce qu’on ressent encore plus fortement le besoin d’exprimer et de se remplir de tout cet amour.

    Et c’est important, car, une fois la séparation venue, c’est ce bonheur vécu qui va faire que le passage du passant ou de la passante laisse un souvenir plus fort que la tristesse de la séparation. Ce n’est pas qu’égoïste, c’est aussi reconnaître que l’autre t’apporte du bon dans ta vie, au delà de sa présence physique.

    Je pense que c’est pareil pour un amour qui commence. Ne pas vivre cet amour impossible est du gâchis pour tout le monde.

  • Membre Inconnu

    Membre
    5 mars 2019 à 11 h 27 min

    @rickla : je tenais à vous présenter mes excuses pour le manque de réflexion approfondie des termes de ma réponse, sans avoir pris en compte, l’ensembles des données que vous avez énoncées.

    Vous avez raison, je suis une “idéaliste” dans le domaine de l’Âimer et quelles que soient les circonstances ou situations, je persiste et “cygne” en vous disant de Vivre cette Histoire ; si l’Âmour s’est manifesté, laissez-le s’exprimer.

    Inconsciemment, dans mon esprit, la notion de “viable” a désorienté ma réflexion et m’a, bien évidemment, conduite à l’image de l’innocent “condamné d’avance”, non pas de par ses substances Intérieures éprouvées et ressenties, mais en projection-injection de paramètres totalement extérieures au Sentiment d’Âmour qui jaillit et naît, entre deux Êtres.

    Transposons cet Âmour dans la matière du “Vivant” ; que cela soit pour une heure, un instant, un jour…cet Âmour doit vivre, sa naissance a toujours un sens, une “raison” de manifestation et d’Être.
    Le Sens ne demeure pas dans les chants ou complaintes du temps, mais bel et bien, dans cette transformation qui agit, de par sa propre “respiration” et ce, malgré tous les malgré ; les jours pour d’Âmour naissent pour exister.

    @jasper :

    je crois que @rickla ne parlait pas de ressentir de l’amour, ce qui échappe à toute raison, mais plutôt de vivre son amour.
    Et ça, ça n’échappe pas toujours à la raison.

    Ma raison semble ne pas être “raisonnable” en ce domaine et ma dernière histoire d’Âmour (en tant qu’Âimée clandestine, dans l’ombre) a vécu et survécu, pendant 13 ans) et même si, cette histoire a broyé mon Coeur, je ne regrette rien car j’ai Âimé cet homme, malgré tous ses malgré…

  • rickla

    Membre
    5 mars 2019 à 12 h 00 min

    @filledelair Nul besoin de t’excuser. Merci toutefois pour ce retour. Je pense que tu avais bien pris en compte les données mais que tu ne pouvais te résoudre à les accepter 😉 (car peu importe leur justesse ou non elles n’entraient pas dans ton schéma de fonctionnement; tu as du prendre sur toi, bravo).
    Je dresserai un petit bilan ce soir ou demain (ce sera surement l’occasion d’élargir, ‘disgresser’).

  • wamm

    Membre
    5 mars 2019 à 13 h 36 min

    bonjour rickla je pense que tout dépend à quelle point te rendre compte de la non viabilité de cet amour est toxique à ton bien etre…
    si tu sens que c’est pas viable mais que tu te sens “vivant” à chaque fois que tu y es confronté, bah kiff !
    si tu sens que que c’est pas viable et que ça t’empêche de vivre le truc à fond , bah arrêtes de te faire du mal (ainsi qu’a la personne en question)
    my point of view

  • rickla

    Membre
    5 mars 2019 à 20 h 15 min

    L’heure du bilan.
    D’abord j’ai ressenti un certain idéalisme, non utopique, qui fait chaud au cœur.
    Ensuite je note que peu de monde s’est exprimé (ça reste dans la bonne moyenne des topics), je veux dire trop peu pour valider une tendance pourtant nette : 6 oui et 2 ça dépend.
    Pas de ‘non’. Je pense qu’il y en a pourtant… des ‘pragmatiques’, des ‘frileux’, etc… mais qu’ils se sont abstenus soit pour ne pas ‘casser le délire’, soit pour ne pas ‘risquer d’avoir à se justifier’, ou simplement se sentent-ils moins concerné par le sujet.
    Il y en aussi sûrement qui ne se sont pas exprimé, à cause du biais de devoir ‘accepter la non-viabilité’, alors qu’ils réfutent cela, au nom de l’amour prime tout ou l’amour n’est pas.
    Pour ma part je reste convaincu (à contre-coeur), qu’il est des situations, des états, des aspirations qui peuvent bloquer (même si des fois on ne peut valider les blocages qu’après avoir tenté). Si la raison ne doit pas primer, amour ne rime pas avec déraison. On peut tenter tout, mais pas faire n’importe quoi, car des fois il n’y a pas que les sentiments en jeu. C’est bien pour ça que j’excluais l’optique ‘tenter’ (qui nie la non-viabilité), et restais dans l’optique ‘vivre’ (profiter de ce qui est sans conteste possible) tel quel avec les limites temporelles d’un moment.
    Concrètement (mais sans trop me livrer), je suis dans une situation où on a ‘validé’ la non-viabilité, mais où le moment était possible et a failli advenir, avant que l’un de deux ne renonce. Sur quelles bases ? Cf la réponse de @petitprince qui est la réponse exacte mots pour mots, peu importe combien j’avais du mal à en convenir (pour être honnête je me même suis demandé si ce n’était pas prétexte pour justifier un fantasme égotique travesti en amour, malgré l’évidence des sentiments et de la fusion). Voilà, ça ne se fera pas. C’est peut-être con (ou pas), ce qui est sur c’est qu’on l’est tous des fois.

  • Membre Inconnu

    Membre
    5 mars 2019 à 22 h 47 min

    D’après ce que tu dis, tu as déjà vécu l’amour dans l’histoire dont tu parles.
    Mais elle devient impossible pour des contraintes matérielles ou matérialiste je suppose.
    L’amour prend de multiples formes, et à moins que ce soit un “amour pervers” (ou faux amour), ce ne sera que beau à vivre, à condition de savoir lâcher prise sur l’impossible, et embrasser pleinement le sentiment d’amour, telle une force, parfois accompagné de félicité, d’une douce chaleur dans le coeur, ou la sensation d’avoir des ailes (tant qu’on ne se cogne pas la tête au plafond).
    L’amour pour une fleur, un arbre, le beaux temps, la douce brise du printemps, de la présence d’être vivants que l’on aime autour de soi, des réussites des autres, ou l’amour pour un bon repas bien équilibré, et l’amour pour la sagesse. Ce n’est qu’une petite et brève liste.
    On peut aussi être “amoureux de l’amour”. Enfin bref …

    J’adore ton interrogation pour savoir “ce que je ressens, est ce vrai ? Ou me fourvoyais je ?”.
    Le doute constant, perpétuel … et pourtant parfois il suffit de se lancer, après avoir évalué les risques, dangers, et récompenses potentielles (en tout cas les extrêmes). “Au pire” et “au mieux”.
    Jusqu’à quoi est on prêt à courir ? Accepter ? Foncer tête baissée dans le mur ?

    Après, si tu voulais spécifiquement une “étude de cas”, alors il fallait le dire ! 😛
    Avec des détails plus précis, les avis seront peut être contraire à ceux émis à priori.
    Voir certain(es) penseront à quelque chose de nouveau.
    Dans mon appréciation personnelle, j’ai longtemps été dans le doute avec nécessité d’un avis extérieur pour aller dans mon sens ou à l’opposée … Si c’est dans le même sens, je fonçais alors tête baissée, mais en cas d’avis divergeant, tendance à “rien faire”.
    Maintenant, je procède différemment, parce que moi seul peut savoir ce qui se passe en moi notamment.

  • rickla

    Membre
    5 mars 2019 à 23 h 04 min

    @etienne31
    Non, pas vécu… on s’est très intimement rapproché, on a constaté la force des sentiments et de la connexion, puis on a renoncé, quand on aurait pu débuter.
    Le doute sur la réalité, particulièrement présent au vu des circonstances, a beau avoir été scruté de près, peut être en restait-il ?
    En effet vos avis m’ont éclairé non pas sur la conduite à tenir mais sur celle qui s’est imposée, la situation venait déjà de se clore quand je vous ai sollicité, mais ça me rassurait un peu d’essayer à travers vos réactions de mieux comprendre notre choix divergent sur la conduite à tenir. Ca m’éclaire aussi pour la prochaine fois. Car si rarement une même occasion se présente 2 fois dans la vie, des choses similaires se reproduisent parfois.

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