Quand une femme dit non

  • cinematographe

    Membre
    6 octobre 2020 à 7 h 22 min

    @faiseuse-de-foret je reprends ton propos «je suis du parti de ne rien faire car je ne sais pas faire & que c’est fatigant »

    Oui je peux affirmer la même chose également…

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 octobre 2020 à 9 h 53 min

    @Byaku tu n’as pas compris alors ce que je cautionne dans les dires de PasBienCuit.

    C’est pas le faux argument de virilité, c’est surtout qu’il me semblait souligner le faux débat et arrêter de chouchiuter le pauvre ego des pauvres garçons qui se sont pris un gros râteau, et qui se donnent toutes sortes d’excuses en commençant par inculper la femme ” qui est chiante, qui sait jamais ce qu’elle veut ” et ta race a la con.

    Et je suis d’avis que , homme ou femme, quand on se prend un râteau, a un moment on arrête de faire le lourd. Le problème c’est que certains ne savent pas du tout s’arrêter. Et choisissent mal le moment

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 octobre 2020 à 11 h 23 min

    @ faiseusede foret “

    “il y a des femmes qui aiment que “le galant” fasse tout´´
    je suis du parti de ne rien faire car je ne sais pas faire & que c’est fatigant”

    le travail est une valeur noble !

    __________________

    Je précise mes propos d’hier

    dans la phase “séduction” (dans laquelle se situe 90% des réussites);

    admettons que l’homme initie le dialogue

    Il fait sa cour, cela peut susciter des réactions,

    mais ce qui compte c’est que rapidement,

    les initiatives de la femme soient indépendants de celles de l’homme, pas seulement en approuvant celles de l’homme

    L’idéal est si dès le début la femme, prend des initiatives, complètement indépendantes.

    _________

    Mais on voit d’après ce que dit “faiseusedeforet”, que celui qui va arriver avec toi, va devoir continuer longtemps, même s’il n’a de ta part aucune initiative indépendante, juste au mieux des approbations de ce qu’il te propose.
    Donc ca prouve bien (puisque le gars par hypothèse est ton prochain ami donc qu’il va réussir) qu’on peut réussir en continuant à être le seul preneur d’initiatives….

    Mais bon, il y a aussi l’amour de soi de ton galant”: si tu laisses ton galant tout faire, au bout d’un certain temps, il peut en avoir marre. Donc certes tu mesures là son affection envers toi. Mais attention … au supermarché!

  • bagayaga

    Membre
    6 octobre 2020 à 13 h 45 min

    @byaku

    Merci tout d’abord pour ton gage d’amitié et de respect. Que je partage entièrement^^

    Nous sommes arrivés presque en même temps ici, toi et moi et j’ai eu le loisir de te lire et pas que dans tes sujets litigieux. J’ai lu aussi ta sensibilité et tes affects. Et je reste partial quant à l’œil que je laisse trainer sur tes productions ici.

    Je sais très bien donc que tu ne cautionne pas ce comportement ce comportement que pasbiencuit illustre. Je t’ai lu décrire les comportements triviaux de tes paires masculins. Et je sais que ces muffleries face à la gente féminine t’exaspèrent…

    Alors certes ce n’est pas le cas de l’ensemble de la gente masculine et fort heureusement. Mais c’est tout de même assez récurant. Assez pour qu’on ait tous eût à le constater et le déplorer.

    Pasbiencuit a tenter de corroborer ce sentiment que les femmes bafouées ont pu ressentir, lorsque leur non sont passés à la trappe.

    J’en suis la preuve vivante, je balance rarement un non catégorique et j’essaie de l’enrober de douceur et de compassion, tant l’idée de faire souffrir mes galants me terrorise. J’ai même déjà dit oui, alors que je ne le souhaitais pas au fond. Par compassion, par gène. Par peur de provoquer un sentiment de rejet. Et c’était stupide de ma part et je m’en suis voulue, de faire passer les émotions des autres, avant les propres miennes. Et c’est quelque choses sur lequel je travaille maintenant. D’écouter mes désirs. D’avoir ma volonté propre. Et d’accepter d’être une femme séduisante, qui a le droit d’éconduire. Et de ne pas avoir envi. De suivre mes instincts et les doutes. Plutôt qu’une logique pure.

    Je veux dire par là que je me dis, il est bien, il est gentil il est sincère. Laisse-lui une chance. Alors qu’il y a des choses, en séduction qui ne sont pas à appréhender dans la sphère de la raison. Des fois c’est non, et ça vient des trippes. Et il n’y a hélas pas d’explication rationnelle.

    Et je devrais être capable de le verbaliser. Et je le suis maintenant. Presque un peu trop tout de même. Mais c’est encore une autre histoire.

    Pour en revenir à pasbiencuit, il a dépeint un fil plausible de la réalité. Qui n’est certes pas le seul Byaku, oui. Mais qui est un brin de la tresse de notre société et de nos mœurs. Je pense que tu t’es senti attaqué, alors que toi, avec les femmes, dans ta relation à l’autre tu as un rapport vraiment différent et un vrai respect. Mais comme une fois tu le l’avais souligné dans une discussion similaires, sur lesquels nous nous retrouvons souvent, toi comme moi, outsider de nos sexes respectifs, tu m’avais dit que je n’étais qu’un écart type, et que ce que tu décrivais s’appliquait à la masse. A la moyenne des gens. Et que nous dans nos particularités ,nous n’étions qu’une minorité

    Ensuite, tu dis juste que tu pointes l’hérésie féministe. Je ne suis pas en désaccord. Mais je vois le féminisme pas comme une menace, mais comme un symptôme des injustices que nous avons subies, et surtout nos aînées. Il y a moins de cent ans en Alsace les femmes étaient encore tenues de manger ensembles dans la cuisine, nos grands-mères ne pouvaient avoir de compte bancaire, voyager seule, choisir ou non d’avoir des enfants ou même des rapports sexuels, de choisir leur époux.

    Le féminisme n’est que l’abces qui explose de ces ignominies sociétales.

    Quoi qu’il en soit ce n’est pas une raison pour condamner tout les hommes. Encore moins pour en faire des inférieurs, mais c’est un droit et un devoir d’élever la voix et de dire stop.

    Si les afro-américains n’avaient pas luttés, ils seraient encore assis au fond des bus.

    Après je cois très bien les dérives qu’ils existent. Et le martelage et les raccourcis nauséabonds qui sont perpétrés par ce mouvement dans certaines de ses branches. Car il y a tellement de façon différentes de militer dans ce mouvement. À tord on condamne tout le féminisme, alors qu’il y a des nuances. Alors attention à ne pas faire d’amalgame.

    Ta réflexion est juste sur la non acceptation de l’opposition caricaturale homme /femme. Mais juste pas besoin de prendre les gens de haut et de les corriger.

    Personne n’aime qu’on lui racontes la fin du livre avant de l’avoir lu. Tu ne gagneras rien à t’exciter de la sorte sur les gens.

    D’où ma proposition de témoigner de ta façon d’être un homme et de ton ressenti.

    Je vais te raconter une anecdote personnelle sur moi.

    J’ai été élevée par une féministe, horrible. Depuis mon enfance ma mère m’a farci la tête, en me disant que les hommes étaient faibles, des porcs, qu’ils n’avaient aucunes utilités pour nous. Et qu’il fallait juste se servir d’eux au besoin.

    J’ai débuté mon regard sentimental avec ce paramétrage odieux. Je vous voyais comme des pompes à foutre obsolète. Des gentils benêts pas bien dégourdis.

    J’avais des tas d’à priori sur vous. Sur votre sexualité, sur votre intellect,

    sur vos émotions, sur vos capacités.

    Et cela a été la pire façon de trouver des partenaires. Parce que je pensais que vous étiez ce genre de trou de balle, je ne m’évertuais qu’a voir et tomber amoureuse d’abrutis fini. En pensant que c’était la norme. Je n’ai pas chercher à comprendre ma sexualité, car je pensais que c’était normal d’être prise pour un trou, et de prendre les hommes pour des bites. Je ne voyais le monde qu’avec les œillères que maman avaient soudées sur mes paupières.

    Heureusement très rapidement, j’ai eu la chance grâce à ma curiosité, et les rencontres, les lectures, le théâtre et autres activités enrichissantes, de faire tomber ces œillères. Et j’ai découvert des humains, pas si différents de moi.

    Je me suis laissée attendrir et gagner de respect, de curiosité et de respect pour les hommes.

    Maintenant je vous vois comme une pièce du puzzle de l’humanité. Comme un complément à mon humanités.

    Et j’ai décidé d’abandonner la haine et le mépris. De les chasser de mon cœur. Le plus possible.

    Pour autant il n’empêche que les hommes que me décrivaient ma mère existent tout de même. Et bel et bien. Qu’ils sur jouent une caricature de la gente masculine. Je ne suis même pas sûre qu’ils y croient eux même. Mais c’était comme ça chez eux, et autour. Dans leur monde ,dans leur brin de réalité.

    Je les regardes avec tristesse. Car cette vue binaire de la société et des mœurs est bien fade et triste.

    Je me permets de leur montrer ce que peut être une femme, affranchie de tout stéréotypes. Juste être dans la relation, dans le lien, de cerveau à cerveau en oubliant le genre.

    Je comprends ta colère et ton mépris. Parce que toi tu as déjà compris. Mais comme je le rabâche depuis un temps et je le dirais encore. Il vaut lieux considérer la majeure partie des Hommes comme des fous ou des enfants. Avec lesquels il n’est pas permis de se fâcher et surtout avec lesquels il faut expliquer et apprendre.

    J’espère que tu comprends qu’en prenant de haut et en invectivant. Tu n’obtiendras rien. Et il y a bien d’autres façons d’illustrer ses propos.

    J’en viens aux questions que je t’ai posées.

    C’était mon but d’offrir à nos lecteurs le loisir de connaître comment tu exerçais toi ta masculinité. Car le témoignage a beaucoup plus d’impact. Pour tout les autres hommes qui lisent. Qui vont se comparer. Se distinguer. Réfléchir à comment eux ils sont. Se remettre en question.

    Et surtout tu perd cette image de grand inquisiteur que tu revêt quand tu écris avec l’encre de ta fougue. De ton mépris.

    Je voulais qu’ils comprennent que tu as un cœur. Et une sensibilité à fleur de peau. Une telle délicatesse @byaku. Et que tu le caches bien en fanfaronnant et guerroyant.

    Moi Je le sais. Je sais que ça te touche d’être mis dans le même panier qu’un certain effectifs de sous merdes. Comme je le suis, quand on m’associe à un panel de femmes que j’abhorre.

    Mais pour autant ils sont bien là ces gens, qu’on le veuille ou non. On ne va pas les exterminer. Et il faut bien vivre avec.

    Sans pour autant s’aigrir et condamner L’humanité entière pour les exactions scabreuses d’un certain pourcentage.

    Mes questions n’étaient pas innocentes non^^ D’ailleurs je connaissais déjà les réponses Byaku. Mais je peux juste te dire, ainsi que ces réponses sont exactement comme les miennes. Et qu’on vit homme, comme femme les mêmes choses.

    Au sujet du non, qui se transforme en oui. Homme comme femme ça pu l’orgueil. Et l’orgueil est un vice humain. Pourquoi il ne se bat pas pour m’avoir l’autre ? C’est qu’il ne l’alloue pas assez de valeur. Alors le voila devenu attractif. Car il ne veut pas de moi.

    C’est la pire façon de débuter un rapport amoureux je pense. C’est nier son instinct premier. Non. Au profit de calculs d’apothicaires. Et de se lancer dans la quête de l’amour de son égo. Et pas de l’autre. Donne moi toi l’alter, la valeur que je ne pense pas avoir. Nourri mon ego défaillant.

    Ma conclusion est de dédiaboliser la tienne.

    Apprenons homme et femme à nous redécouvrir, sans les stéréotypes manichéens en vigueur.

    Comment @byaku ?

    Comme ça en dialoguant ouvertement sur nos envies, nos doutes et nos écueils. Et construisons ensemble le puzzle de l’humanité, que nous composons ensemble comme pièces différentes d’un même puzzle.

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 octobre 2020 à 13 h 48 min

    Enzos “Je sais que c’est elle mon âme sœur”,

    donc dans ce cas, ça vaut le coup de tenter “mission impossible”: continuer dans le Respect,après le non qui veut dire peut être oui (mais qui veut peut être aussi dire non, pour toi il n’y a pas de différence: tu dois tenir compte que c’est peut être un non qui veut dire non).
    Alors, il faut que

    A) tu progresses dans la satisfaction de tes autres besoins: habillement, logement, voiture, vacances, loisirs, activités épanouissantes

    B) que tu sois méchant: au néolithique se disait la femme se disait qu’un “époux” méchant aurait mois de chance d’être tué à la chasse et ramènerait plus de gibier pour leurs enfants, Actuellement elle se dit qu’il se fera moins encombrer par des plans foireux (en aidant moins Pierre, Paul et Jacques, toujours en galère) et réussira mieux

    C] tu la zappes, tu restes des mois sans la voir. T’inquiète pas si c’est elle ta moitié, tu es aussi sa moitié, donc elle ne te perdra pas de vue.

    D) arrange toi pour ne revenir que quand tu t’estimeras prêt, mais attention si à ce moment là elle te dit non, c’est fichu, tu devras laisser tomber, même si c’est vraiment ta moitié!

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 octobre 2020 à 13 h 52 min

    @Enzos “J’aurais voulu qu’elle m’explique son refus”

    Elle ne peut pas car elle ne le sait pas, néanmoins le fait qu’elle ne le sache pas ne l’empêchera pas une fois que tu auras disparu, de l’expliquer à des amis communs, qui te le rapporteront!

    Mais on peut te dire (pour te faire gagner du temps), elle veut que tu sois toi même !

    (si c’est un “non qui veut dire oui”, attention si c’est un “non qui veut dire non”, toi seul le sait, tout cela ne servira à rien, laisse tomber de suite)

  • bagayaga

    Membre
    6 octobre 2020 à 13 h 53 min
  • Membre Inconnu

    Membre
    6 octobre 2020 à 14 h 02 min

    @verof “Peut-être faut il laisser faire…”

    Il risque de ne rien se passer!

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 octobre 2020 à 14 h 04 min

    Enzos “C’est elle que je veux et pas une autre femme. Vous êtes compliqué les
    femmes, elle est très mystérieuse elle ne parle pas de sa vie sinon à
    la vite fait.”

    Mets toi à sa place et regarde toi; es tu celui dont elle a besoin ? Deviens le !

    Mets tu vas devoir te mettre en danger et sortir de ta “confort zone” !

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 octobre 2020 à 14 h 10 min

    @byaku

    “C’est sérieux ? C’est un argument ca ou une énorme blague ? A quel niveau on se situe dans le débat là ? j’espère juste qu’il plaisantait complètement. Ce serait sa meilleur défense !”

    Évidemment… désolé de ne pas planer dans les hautes sphères de la pensée complexe. Humour ? Oui et non, caricature grossière et assumée plutôt.

    Je note au passage que tu ne t’adresse jamais directement à moi, procédé particulièrement méprisant, si je puis me permettre.

    Si je dois rentrer dans la statistique de comptoir (le 1/1000), dans ma vie, parmi mes connaissances/amis (et je n’en ai pas 100), 2 hommes se sont révélés être des harceleurs/agresseurs pathologiques, et je ne parle que de faits avérés. Je pense que ta statistique est très optimiste, à la limite de la très mauvaise foi.

    “Je ne vois pas de conseils bienveillants pour ces hommes dans le message qui m’a fait bondir de ma chaise de pasbiencuit … Y’a eu du machisme ou sur ce sujet au juste ?”

    Mea culpa, j’aurais du préciser que je ne visais pas tel ou tel zèbre, c’est l’exemple du 1er post qui motivait ce coup de gueule contre la théorie du “oui qui veut dire non” qui, pour moi, en soi est machiste.

    Cela dit, quand je te lis et que tu expliques que la frustration sexuelle de l’homme actuel est à son paroxysme, en gros, à cause des “conneries néo féministes”, on est un tantinet dans le machisme. Le problème de la frustration sexuelle des hommes, c’est le problème… des hommes ! Les femmes ne sont pas responsables de nos pulsions, si ?

    Ensuite, les conseils bienveillants, en effet ça manque dans mon post, j’y reviendrai.

    “J’ai pas envie d’être autre chose que péremptoire quand je lis des trucs comme ceux que j’ai cité dans mon précédent message. Ca ne se débat pas ce genre d’arguments … Ca se corrige ! Je le ferais avec une gentillesse qui te choquerait si c’était un mineur ou un enfant qui disait ca. Mais ce site suppose qu’on est tous adulte normalement … Et j’ai plus de mal a le dire gentiment à un adulte qui aurait déjà du avoir le temps de réfléchir à tout ca pour ne pas dire de tels bêtises”

    On repasse dans le mépris, pourquoi pas, ça m’en touche une sans faire bouger l’autre, visiblement mon post t’a personnellement blessé. Ta réponse montre bien plus d’agressivité ad nominem que d’arguments, c’est bien dommage.

    Donc… Conseils bienveillants à ceux qui ont le coup de foudre et se sont entendu dire non !

    J’ai passé toute ma vingtaine à chercher l’âme sœur, à tenter de séduire, à tomber raide dingue, fou d’amour… Et à me faire éconduire.

    Chercher une ou des raisons “rationnelles” qui motiverait ce non, c’est une illusion.

    Pouvez-vous donner une liste des éléments qui vous rendent amoureux, ou est-ce un sentiment puissant mais diffus ? La réciproque est également vraie, on a pas une liste de raisons objectives qui nous explique pourquoi on est pas séduit par une personne, on ne ressent rien et basta.

    S’accrocher à une non-relation c’est toxique pour l’amour propre, au mieux, et au pire on devient un harceleur malgré soi .

    Et je ne me situe pas au dessus de la mêlée, j’ai grave soûlé une nana à l’école d’archi (ça remonte maintenant…) , pas parce que je suis méchant, mais parce que chercher à savoir pourquoi elle ne voulait pas de moi, était devenue une obsession narcissique. Heureusement qu’à l’époque des amis m’ont ouvert les yeux sur la vanité de ma démarche et son caractère agressif pour la fille en question.

    Soyez ouverts et ne cherchez pas la relation sentimentale, ça ne marche pas comme ça, surtout si on est hermétique aux codes sociaux, comme beaucoup ici.

    Ça finit par se produire quand on sort de l’obsession pour soi-même et qu’on regarde les autres sans anticiper ce qu’ils pourraient nous apporter, alors on fait des rencontres authentiques.

    Tout ça n’est que mon avis, ma vision des choses, bien imparfaite, comme moi!

    À plus 😘

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