[Membre Inconnu]

Je vais faire mon zététicien de base mais une expérience vécue n’est pas une généralisation (biais cognitif ;-).

Statistiquement, 2% de 67 millions de français font 1,34 millions de HQI.

En France, selon l’INSEE (source : https://www.insee.fr/fr/statistiques/1281436), début 2011, en France métropolitaine, 32 millions de personnes majeures déclarent être en couple, 72 % d’entre elles sont mariées et partagent la même résidence que leur conjoint, de sexe différent. 7 millions sont en union libre et 1,4 million sont pacsées. Donc 40,4 millions sont en couple. (pour les couples de sexe identique, 266 000 ont été déclarés en 2018 toujours selon l’INSEE)

Statistiquement, il y a donc plus de couples HP-non HP (1,34 millions s’ils étaient tous des adultes en couple – alors qu’en réalité il y a des enfants dans le lot) que de couple HP-HP : 0,67 million en coupant 1,34 en deux 😉 si nous étions tous en vase clos.

Il est donc mathématiquement erroné de dire que les couples entre HP marcheraient mieux puisque le nombre de couples HP-non HP est en nombre largement plus dominant : il faudrait alors étudier les statistiques des séparations et vérifier s’il y a une prédominance au divorce dans cette typologie de couple (en faisant le raccourci de dire divorce=ça marche pas, quand on sait le nombre de couples qui ne marchent pas mais restent ensemble).

J’arrête là mes considérations zébresques : nous sommes ici dans le ressenti individuel. J’ai connu une zébrette avec qui je ne suis pas restée mais j’ai connu avec elle des aspects intimes exceptionnels. J’ai aussi été avec des non HP tout aussi intéressant. Et aucune de ces relations n’a réussi à durer “toute la vie”. Est-ce des échecs ou des expériences ? 😉